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Page:Nau - Hiers bleus, 1904.djvu/111

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Et que torturera, pour de longs jours maussades.
Aux affreux cris de faim des goëlands, —
Damnés livides tournoyants, —
Par l’horreur des forces glauques ameutées, —
Des havres de brume à l’Erèbe des rades
La hantise d’une impossible beauté.