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«O HIERS BLEUS
Ces fictions tendresse humaine, espoir, printemps,
Sourdent,p!us cruelles par instants,
Que la rumeurangoissante qu’elles dominent.
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Et partout des tristesses chantent
Dans l’aridité farouche des plaines
Interminablement affligeantes
Ou bruit une haletante
Poussière deTourmis humaines,
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Sur les grises fureurs de l’Océan,
Aux ras des vergues oscillantes qui secouent
Des grappes de corps ruisselants,
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Par les flots immobilisés des sables roux
Où vaguent les détresses nomades,
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En les taudis hantés des mornes visions
Dont s’agrandissent les yeux des enfants matades,
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