7 HtERS BLEUS
Ht se personnifient, )ugubrement
Planantes au-dessus des bouges, des sentines
Et des scintillantes otficines
Ou se transmuent en or les sousvert-de-griscs
Extorqués à des méfiances besogneuses,
Les malédictions dispersées
Et les muettes haines peureuses
Qui montent de ces !ieuxd’a))uminatiun
Lupanar’ prisons, casernes, hospices.
Combien d’ailes noires battent à l’horizon.
Combien d’anreuses bouches noires hurlent et crissent
Tandis que des renets d’or et de sang
Dansent sur la rade aux vagues de sanic.
Et sur le voilier qui s’en vient, lissant
Si lentement, au creux des values appesanties,
Pour t’homme du bossoir fiévreux, troublé
Par t’approche sourdennt révélée
De la Grande Terre espérée et menante,
Surgit une )lur;)ison d’étoiles rassurantes
Les vils qninquets ont des feux roses. print:)niers,
Qui lui mettent un Avritsensue) d:tns)’.nne:
Les (.tihtcs rumeurs de iavn)c qui hr:))))e
Répondent, tendres et fauntiëres
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Apparence
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