gland de son boute-joie et soutienne plus
ou moins de livres pesant de boulets et
balles de divers calibres qu’on place successivement
dans ce boisseau. Trottignac,
résigné à subir tout ce que pourra lui
prescrire une charmante personne qui a le
bonheur de lui plaire, se soumet d’autant
plus volontiers à l’épreuve que Célestine
veut bien placer elle-même l’anneau. Cette
cérémonie ne peut qu’ajouter beaucoup aux
moyens du lubrique candidat. La mesure
contient d’abord un quintal… Il l’enlève
comme rien… Vingt livres de plus,… bagatelle !…
Dix livres de plus,… il les supporte.
Célestine. — Je cesserai quand vous direz assez.
Trottignac. — Mettez toujours.
Célestine (ajoutant dix livres). — N’allez pas faire quelque effort dont vous puissiez être incommodé.
Trottignac. — Si j’avais le droit de… (Il lève une main comme pour arriver au fichu. Un geste digne et sévère l’arrête, mais le boisseau ne bouge pas encore.)
Célestine (mettant deux poids de cinq livres chacun). — Si vous soutenez ceci de