porte aujourd’hui le nom de Martinfort,
et continue à prouver qu’on peut
être de très-nouvelle noblesse, avoir
porté par système un uniforme odieux,
avoir même précédemment été moine,
sans être, comme certains dédaigneux
le pensent, un homme vil, parce que
l’on n’aurait pas été fait pour monter
dans les carrosses du Roi.
La journée funeste du 10 août 1792 suivit de bien près le départ de l’héroïque Martinfort. Plusieurs Aphrodites réformés périrent dans cette bagarre ; un plus grand nombre d’eux encore, dont même quelques dames, subirent les horreurs du 3 septembre suivant ; mais, par bonheur, nul frère, nulle sœur, de ceux et celles que nos cahiers ont fait connaître, ne furent du nombre des victimes. En général, aucun de nos acteurs n’a mal tourné, sinon le pauvre Trottignac. Son mau-