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CHANSON.
DOUOB liberté désirée,
Déesse, où t’es-tu retirée, .
Me laissant en captivité ?
Hélas 1 de mol ne te détourne l
Retourne, ô liberté, retourne,
Retourne, ô douce liberté l
Ton départ m’a trop fait connoltre
Le bonheur qù je sôulOis être.’
Quand douée tu m’àllols guidant,
Hélasi sans languir davantage,
Je devois, si j’eusse été sage,
Perdre la vie en te perdant.
Depuis que tu t’es éloignée,
Ma pauvre âme est’accompagnée
De mille épineuses douleurs :
Un feu s’est épris en mes veines,
Et mes yeux, changés en fontaine»,
Versent du sang au lieu de pleurs.