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Page:Nettement - Études critiques sur le feuilleton-roman, 1re série, 1847.djvu/16

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{jnement la noble mission que votre zèle vous a imposée. J’aime qu’un homme tel que vous rappelle à la France tout ce qu’elle doit de véritable gloire aux génies si élevés et si purs qui ont tant contribué à illustrer le siècle de Louis XIV. Recevez, Monsieur, l’assurance de mon estime et (le mon affection.

HENRY.

A M. Alfred Nettement.

Il y a (les croix qne Ton refuse ou ({ue Ton oublie daus le tiroir d’un secrétaire ; il en est d’autres cjue l’on porte avec fierté ; celle-ci est du nombre. Elle a d’autant plus de prix aux yeux de l’auteur et il s’en pare avec d’autant plus de complaisance (qu’elle vient de l’exil. Il avait envoyé à Henri de France un exemplaire du livre tout moral et tout littéraire dont on publie une nouvelle éflilion, et avait joint à cet envoi la lettre qui suit :

ic Monseigneur,

« Je sais que otre Altesse Royale ne reste indifférente à aucun dest’iïortsciui sont lonlcs dans l’intérêt de la cause du vrai el du