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NEUF UPANISHADS
18. En Celui qui, dès l’antiquité, dispose le Brahmâ[1] et qui, en vérité, infiltre en lui toutes sciences, en ce Dieu qui illumine la conscience individuelle, affamé de liberté je veux chercher mon refuge.
19. L’être indivis, dominant l’activité, dans la paix parfaite, en qui ne se trouve aucune faute, pur de toute souillure, pont suprême (menant) à l’immortalité, semblable au feu (permanent) des (tisons rouges).
20. Lorsque, comme un tapis[2], les hommes rouleront le ciel ; alors, et alors seulement, cessera la douleur pour ceux qui connaissent Dieu.
21. Connaissant donc Brahm par la force de la méditation, et par faveur du Dieu, Shvetâshvatar, tu le sais, à ceux qui réalisaient le mode supérieur de