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SHVETÂSHVATAROPANISHAD

vie[1], proclama la purifiante et suprême (vérité), dans toute sa plénitude, tenu en haut respect par tous les disciples du sage.

22. Ce secret suprême, (contenu) dans la science finale de la sagesse, enseigné dans les cycles passés, ne doit pas être communiqué à celui qui n’a pas la paix parfaite, ou qui méprise le devoir filial, ou qui rompt la règle du disciple.

23. Pour celui qui offre à Dieu la dévotion suprême, et à son instructeur comme à Dieu, ces vérités en toute certitude, resplendiront pour cette grande âme, pour cette grande âme resplendiront.

Ainsi finit l’Upanishad.

  1. Ati-âshrami-bhyah ; les âshramâh étaient les divers modes de vie prescrits aux Brâhmanes ; à savoir : la vie d’étudiant, de chef de famille, d’anachorète, et la vie errante.