Page:Nichault - Marie.djvu/82

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

MARIE.

Ô bonheur ! (à la Marquise) Ne pleure plus ; oui, je te reconnais…. Saint-Elme, mes amis : ô mon Dieu ! partagez tous ma joie.

SIMON, attendri.

Pour moi, j’en pleure ; mais il faut donc que cette méchante Dupré…

LE BARON.

Oublions-la ; et puisque effrayée de mes menaces, elle a tout avoué, qu’elle aille subir ailleurs le châtiment qu’elle mérite.

LA MARQUISE.

Oui, je n’ai pas le droit de la punir ; mais si je récompense les soins d’Hélène et de Simon, si j’assure le bonheur d’un neveu, d’un frère, d’une fille chérie, je serai peut-être digne encore du beau titre de mère !


FIN DU TROISIÈME ET DERNIER ACTE.