Page:Nichault - Scenes du jeune age V1.pdf/251

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punis par tout ce qu’ils souffrent, depuis qu’ils ont vu leur histoire dans cette comédie sur toile ; moi qui étais là à regarder par les carreaux du petit office, j’en pleurais comme une bête.

— Ah ! mon oncle, ah ! mon père, s’écrièrent les deux enfants… et les larmes leur coupèrent la parole, croyez… que jamais…

— J’en suis certain, dit M. de Berville, en les embrassant ; car vous savez aujourd’hui qu’il n’est point de plaisir possible quand on peut se reprocher une méchante action.


FIN DU PREMIER VOLUME.