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Page:Nietzsche - Considérations Inactuelles, II.djvu/195

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n’éta1t pes compris- ; sa douleur lsissait insensible ; son œuvre s’adressait à des sourds et à des aveugles, le « peuple » qu’il avait espéré apparaissait comme ’une chimère ! Il lent un vertige et se senlit vsciller. La possibilité d’un complet renversement de toutes (choses apparut à ses yeux et il ne slelïrnya plus de cette ’ possibilité. Il se rendit compte-qu’au delà de ce houleÉ versement et de cette destruction il y aurait peuuètre une nouvelle espérance à dresser, mais que cette es- ’ pèrance même ne serait peut-être pas fondée et qu’alors ·’îe q le néant serait en tous les cas préférable à, quelque ’chose qui inspire de la répugnance ! En fort peu de temps il dut subir l’exil politique et la misère.

Mais c’est maintenant seulement, avec ce terrible revirement dans ses destinées extérieures et intimes, que s’ouvre le chapitre de la vie du grand homme sur ! lequel s’étend, comme d’une coulée d’or fondp, Péclat d’une perfection suprême, Maintenant seulement le génie du drame diffiyrurnbique laisse tomber ses derniers voiles ! Il est complètement isolé, le présent lui paraît méprisable, il n’espère plus. C’est alors que son vaste regard universel mesure encore une fois liabîme, cette foisèoi jusqu’au fond. Il y voit le souffrance dans Pessençe · t’ momo doo ’çhoses, et devenu dès lors en quelque sorte impersonnel, il accepte se part de souffrance aves une plus ersndeotronquillitè-’§ o¤ aspiration à la plus haute puissance, héritsge d’états d’àm.e enté rieurs, se tourne ·exclusivement vers la production artistique- Pur S90 oe, il oo perle plus à un « publier ou à un’peupls ’ mais seulement ai luionème, et il s’et’force de donner à cet art toute la otenet et toutes les qualités née ossu ires