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Page:Noailles - Derniers vers, 1933.djvu/38

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Et dont le chaud soupir va dans l’air s’épanchant,
Voile soudain votre ombre et me rend à moi-même.
— Je m’éloigne de vous, sombre ange trébuchant
À qui la mort offrait des promesses suprêmes.

Un cœur plus accablé refuse tout problème…