Aller au contenu

Page:Noailles - L’honneur de souffrir, 1927.djvu/80

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

81
L’HONNEUR DE SOUFFRIR

XLVIII


Mon histoire aux nombreux visages
Est dans ces calmes noms inscrits
Sur le plat et blanc paysage
Que forment les tombeaux taris.

Il serait suffisant qu’on lise.
Ces lettres aux pierreux contours
Pour que mon image s’enlise
Entre la jeunesse et l’amour !