Page:Noailles - Le Cœur innombrable, 1901.djvu/141

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
135
à soi-même


Mon cœur, entendez-vous cet oiseau buissonnier.
Tout, en dehors de l’air étincelant, est sombre,
Voici l’été touffu, voyez ce marronnier,
Nous allons tous les deux nous vêtir de son ombre…