Page:Noailles - Le Visage émerveillé, 1904.djvu/157

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14 octobre.

Je respire l’automne avec tant de tendresse que je n’ai rien à dire.

Automne ! ô douceur ! ô goutte de miel rose !

16 octobre.

Ma mère et ma sœur, installées à Dax maintenant, viennent comme de coutume me faire visite le 15 de chaque mois.

Leurs chapeaux sont d’abord ce qui me frappe. De curieux chapeaux qu’elles