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ouvre à vous ma conscience, voyez, et venez dans ma bouche qui n’a pas de force… »
20 juin.
Je me suis promenée le long des bordures de buis avec la sœur Catherine, je lui ai demandé ce qu’elle sentait en pensant à Dieu, quand on ne dort pas la nuit. Elle m’a dit :
— Une grande douleur, à cause de son crucifiement.
Et j’ai demandé encore :
— Est-ce que vous entendez qu’il vous parle, qu’il met la main sur votre front, qu’il vous préfère ?
Elle m’a répondu :