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m’ont attristée, m’ont humiliée pour elle, cela m’apparaissait comme une marque trop forte, comme une servitude d’amour. M. l’aumônier en est très fier ; il a dit au médecin qui vient souvent me voir :
— Eh bien, docteur, notre couvent a sa petite sainte !
J’ai entendu que le docteur répondait :
— Nous avons à l’asile d’Orthez une jeune fille un peu exaltée, qui a cela aussi, comme votre sainte. On la soigne, elle guérira.
12 août.
J’ai parlé de la sœur Catherine à Julien. Il n’a pas ri. Il ne rit plus depuis l’autre