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LXXXIII
Tu vis, — moi je porte le faix
De ton étrange et dur destin,
Puisque le mal que tu me fais
Tu ne peux pas en être atteint !
Tu vis, — moi je porte le faix
De ton étrange et dur destin,
Puisque le mal que tu me fais
Tu ne peux pas en être atteint !