Page:Noailles - Poème de l’amour, 1924.djvu/21

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Je vois que j’ai tout employé,
La peur, la réprobation,
Le courage ferme ou ployé,
À détruire ma passion ;

Et me voici, l’esprit têtu
Hélas ! et mieux fait pour souffrir !

— Le corps qui s’est trop débattu
N’a plus la force de mourir…