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ou neuvième partie d’un ton, à pen près la moitié d’un quart de ton/ | T. d’impr.,* Ponctuation qui se marque avec deux points, l’un au-dessus de l’autre.
COMMAND. s* m. (Commendat us.) Celui que l’acquéreur d’un héritage s’est réservé de nommer, et pour lequel* il déclare avoir acquis. (Co-man. ) ■
COMMANDANT, adj. et subst. ( Cornmendatus. ) Qui commande 1 dans une place ; ou qui commande des troupes, une troupe. | Se dit, particul., Des chefs de bataillon, ou d’escadron, et Des lieutenants de roi qui comnaandentdans les places. | (Co-man-dan.) COMMANDE, s. f. Ordre donné à un fabricant , à un ouvrier, de faire un certain ouvrage, qui doit ordinairement être achevé dans un temps prescrit, | Ouvrage de commande, Tout ouvrage que Ton fait exprès pour une personne ’qui en a donné* l’ordre. Fig. et fam., Maladie, joie de commande-* etc., Maladie, joie, etc., feintés et supposées. ( Co-man-de. ) -
COMMANDEMENT, s. m. Ordre que
donne celui qui commande ,• qui a pouvoir de commander. | Secrétaires des commandements , Les principaux secrétaires des princes et des princesses de la famille et de la : maison royale. | Secrétaire d’État et dès corn» mandements, Qualité que les secrétaires, d’État prenaient autrefois dans leurs titres. | Lettres signées. en commandement*, , Lettres, arrêts qui étaient signés par un. secrétaire d’État. | Tout ordre bref qu’on donne à haute voix pour faire exécuter certains mouvements, certaines manœuvres. | Exploit fait par un huissier, en vertu d’un jugement ou d’un titre exécutoire, par ; lequel il commande , au nom du roi , de la loi et de la justice^, de payer, de vider les lieux, etc. | Loi, précepte, j Autorité, pou-, voir de commander, | Avoir le commandement d’une province, avune place, Y avoir la qualité, la place de gouverneur, de commandant. | Bâton de commandement. Bâton qui est le signe de l’autorité, et que portent certains officiers investis d’un commandement. | Action de commander, manière de commander. | lia le commandement beau, se, disait autrefois D’un officier qui commandait de bonne grâce. Cela se dit encore, par ironie, D’un homme qui donne des ordres impossibles ou très-difficiles à exécuter ; ou D’un homme qui n’a point d’autorité, et auquel on ne veut pas obéir. | Avoir qq.ch. à son commandement, Pouvoir s’en servir à sa volonté. | Fig., Avoir la parole à commande- 1 ment, avoir le latin à commandement, etc> S’énoncer avec facilité* parler le latin comme sa propre langue , etc. ( Co-man-de-man* ) COMMANDER, v. a. {Gommcndare.) Ordonner, enjoindre qq. ch. à qqn. | Fig., Commander le respect , F estime, etc., Inspirer un respect, une estime, etc., dont il est COM
impoAMbbvdfe ; se défendre. | Commanaer qtf m ch, à un ouvrier, à un artisan, Lui donner ordre de faire qq. ch. de son métier. | Fig., Ce sentiment ne se commande point, Ne dépend pas de notre volonté. | Fig., en parlant Des choses. Dominer par son élévation, | Avoir le commandement , l’autorité. | Commander une expédition , un siège , etc., Être chargé de diriger une expédition, un siège, etc. | Mener a la guerre une troupe du commandement de laquelle on est chargé. | V. n. Avoir droit et puissance de commander, avoir autorité, empire. | Fig. etfam., Commander à la baguette, Commander avec un empire absolu ; ou Commander avec hauteur et dureté. | Fig., Commander à ses passions 1 , se commander à soi-même , Maîtriser, réprimer ses passions. (Co-man-dé.) ■ COMMANDERAS, s. f. Bénéfice affecté à l’ordre de Malte ou à qq, autre ordre militaire. (Co-man-de-rie.)
COMMANDEUR, s. m. Chevalier d’un ordre militaire ou hospitalier, pourvu d’une commanderie. | Dans plus, ordres militaires et autres , grade plus ou moins élevé , qui est purement honorifique. | Commandeurs de tordre, Ecclésiastiques qui avaient l’ordre du Saint-Esprit. | Commandeurs des croyants,- Titre que prenaient les .califes. (Co-man-deur.)
COMMANDITAIRE, s. m. Celui qui n’est que simple bailleur de fonds 1 dans une société en commandite, et qui ne preiïtf aucune part à la gestion. | Adj,, Associé commanditaire, (Co-maiî-di-tè-re.)
COMMANDITE, s. f. ( Commendare, ) Société formée entre un ou plusieurs associés responsables et solidaires , et un ou plusieurs associés simples bailleurs de fonds , qui ne prennent aucune part à la gestion de la société t et qui ne sont responsables que jusqu’à concurrence de leurs mises. (Co-mandi-te. ) *-•."■ •
COMME, adv. de comparaison. ’(Quem admodum
- ) De même que, ainsi que. j Un homme
comme lui, Un homme de son mérite, de son rang , etc. | Fam., Comme cela , Ni bien ni mal. | Fam., Il est comme cela , C’est son caractère, sa manière f son usage, etc. | Se joint avec Considérer, regarder, etc., pour marquer l’opinion que Ton a de qqn. ou de qq. ch., le jugement que l’on en porte. | Comme si , De même que si. | Comme aussi, Et pareillement , et de plus. | Comme en effet , Façon de parler dont on se sert pour confirmer œ que l’on a dk. | Par exemple. | Presque, quasi. | En qq. façon. | De quelle manière, | Fam., Comme quoi, Comment. | A quel point, combien. | Tant que, autant que. | En qualité de , en tant que. | Fam. , En vertu de quoi- | Adv. de temps, Lorsque, dans le temps, au moment où. >| Conj., Parce . que, vu que, par le motif que, (Co-me.) COMM1ÏMORAISON. s. f . (Commémora
