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estent, que Ton croit apercevoir entre deux choses, entre deux personnes. | Sans comparaison, se dit qqf., dans ce sens , Pour adoucir une comparaisoa qui a qq, ch. de peu convenable, de choquant. [ Degrés de •comparaison j Le positif, le comparatif et le superlatif. ] Adverbes de comparaison , Ceux qui servent à indiquer un rapport de supériorité, d’égalité ou d’infériorité.) Similitude, figure dont les orateurs et les poètes se ■servent en comparant une chose ou une personne à qq. autre. ( Con-pa-rë-zon.) i COMPARAITRE, v. n. (Comparera) Paraître devant un juge. (Con-pa-rê-tre.) COMPARAIT , ÀNTE.. adj. Qui comparai !
devant un juge, devant un notaire, etc.
1 Subst., Le comparant, ta comparante, pes non- comparants. ( Con-pa-ran.) COMPARATIF, IVE. adj. ( Comparaùvus
- ) Qui sert à comparer , qui met en comparaison.
Se dit Des choses. | Adj. et subst.,
- se* dit Des mots qui expriment un rapport
de supériorité , d’égalité ou d’infériorité. ^Con-pa-ra-tif.)
< COMPARATIVEMENT, adv. Par comparaison à qq. ch. (Con-pa-ra-ti-ve-man.) COMPARER, v. a. (Comparare.) Examiner les rapports et les différences qu’il y a entre Une enose et une autre, entre une personne et une autre. | Égaler. | Marquer les rapports de ressemblance entre des choses ou des personnes qui sont de nature ou d’espèce différente, | Comparer des écritures, Les confronter , et examiner si elles sont de même jnain. | Ânaiomie comparée •, Science qui établit les rapports et les différences qu’on découvre dans la structuré de l’homme et celle Aes animaux. (Con-pa-ré.)
COMPAROIR, v. h. (Comparera) Être assigné à comparoir, Être assigné à se présenter en justice. (Vi.) On ait Comparaître. j^Con-pa-rouar.)
COMPAREE, s. f. Entrée des quadrilles dans un carrousel. [S. m. Se dît, au théâtre, Dés personnages muets qui ne servent qu’à figurer. (Con-parae.)
"’, COMPARTIMENT, s. m. (Compartiri.) /Dérivé du verbe Compartir, qui n’est plus en usage.) Assemblage de plusieurs figures , de plusieurs choses disposées avec symétrie. | Se dit De certaines dorures à petits fers qui pe mettent sur le plat ou sur le dos des livres. | Case, division. (Go n-par-ti-man.) COMiPAÏtTltElrtL s. m. ( Compartiri.) ’Celui dc& juges qui avait ouvert un avis contraire a celui du rapporteur, et sur l’avis duquel la compagnie s’était partagée. (Con-par- ,ti-teur.)
COMPARUTION, s. f. {Comparerez) Action de comparaître devant le juge :* (Con^patu-sîoii. ) :
tO’MPAS. s. m. (Cum, passus.) Instrument cbrhposé de deux tiges métalliques, appelées Branches ou Jambes , lesquelles sont COM
terminées en pointe à Tune de leurs extrér mités, et à l’autre jointes par une charnière qui permet d’ouvrir plus ou moins l’angle qu’elles forment. | Compas de proportion , Instrument, composé de deux ’règles plates, assemblées à charnière par un des bouts, comme un compas ordinaire, et portant sur leurs faces des lignes divisées , pour servir à divers usages de géométrie, j Compas à verge , Longue règle de bois ou de fer qui porte deux poupées , dont chacune a sa pointe , et dont Tune est "mobile le long de la règle, de manière à pouvoir embrasser des longueurs plus grandes que les compas ordinaires. | Fam., Par campas , Avec une grande exactitude, une grande circonspection. | Compas de route, ou Campas’, La boussole. | Compas de variation, Boussole préparée pour connaître les variations de l’aiguille aimantée. | Compas azimutat, Boussole munie de pinnules, etc., qui sert à observer des azimuts, des amplitudes, et à faire des relèvements. (Con-pa.)
COMPASSEME1NT. s. m. Action de compasser, ou Le résultat de cette action. | Régularité froide et trop étudiée, (Con-pa-seman. )
COMPASSER. v. a. Mesurer avec le compas. | Bien proportionner une chose, là faire avec une exacte symétrie. I T. de guerre , Compasser des feux, Les disposer de manière qu’ils fassent tous leur effét.en mêma temps. J Fi g. , Compasser ses actions , ses démarches, Les bien régler. | Fi g., Être compassé dans ses discours , dans ses actions , etc., Y mettre beaucoup de régularité, d’exactitude ; Une régularité, une exactitude poussée jusqu’à l’affectation. On dit, absol., Etre compassé. (Con-pa-sé.)
COMPASSION, s. f. ( Compassio. ) Pitié, commisération, mouvement de l’âme qui nous rend sensibles aux maux d’autrui. | Fig. , Faire compassion, se dit, par mépris^ De certaines choses qu’on désapprouve, (Conpa-sion. )
COMPATIBILITÉ, s. f. Se dit Des qualités qui peuvent se concilier, s’accorder ensemble. | Se dit De deux charges, de deux fonctions qui peuvent être exercées en même temps par la même personne. | Lettres de compatibilité , Lettres patentes par lesquelles le prince permettait de posséder en même temps deux charges, qui ne pouvaient, suivant la règle commune, être exercées par une même personne. (Cpn-pa-ti-bi-li-té.) COMPATIBLE, adj. des a g. (Compassièitis. ) Qui peut exister, s’accorder, compatir avec un autre. { Se dit D’une charge, d’une fonction qui peut être exercée en même temps qu’une autre. (Con^pa- ti-b !e.) COMPATIR, v. n. (Compati.) Être touché de compassion pour les maux d’autruL | Souf- , frir les fautes, les faiblesses de son prochain
