sèment, Fam. | Au pîur. , La moelle qui m trouve dans les reins du veau ou du mouton, quand elle est cuite. (A-mou-re-têi) ’ * AMOUREUSEMENT, adv. Avec amour, avec affection , avec grâce. (A-mou-reu-zè- * inan.)
AMOUREUX , EUSE. adj. Qui aime par amour. | Enclin à l’amour. | Qui marque de l’amour , qui ’ est plein de sentiments d’amour, qui est propre à inspirer de l’amour. | Qui a une grande passion pour qq^ ch. |’ Subst. , Amant. (A-mou-reu/ze,) AMOVIBILITÉ, -s. f. Qualité de ce qtii est amovible. ■• - "i * ; *•-* ■•’ : "* AMOVIBLE, ad], des * £ T (Ad , màbilis.) Qui peut être place ou déplacé à volontés * AMPHIBIE, , adj. des aj. {Ampki, bios y gr.) Qui vit sur la terre et dans l’eau ; [Sûbst. en parlant Des animaux. | Fig. et faim, Homme qui exerce deux professions disparates ; qui ménage 1 deux partis opposés.’ (An-fr-bie.) "■■■ ’-■’■* **^- ’■'"’■ ’■*•’ AMPHIBOLOGIE, s. f.’ (Amphibolos^Io- ■gos f "gr’.) Vice du discours qui le rend am-Jbigu, (An-û-bo-lo-jie :) Ji ; * , AMPHIBOLOGIQUE.*’ adj. ; des s g. (Ayant double sens. (A n-fi-bo-lorjic-e.) *. i * AMPHIBOLÔGIQUEMÉ^T. adv. ffune manière amphibologique. (An-fi-bo^lo-jic-e* man.) > • ■■^■-. .1 , ■ . . , . ;t ; AMPHICTTONIpE.- adj.’^f. Se dit : Des villes de la Grèce qui avaient Je droit $’anv t phictyonie. (An-fic-si-o-ni-de.) : * J AMPHICTYONIE. s. v f. Se dit Du’ droit
- que les. principal es villes de la Grèce avaient
- d’envoyer un député au conseil des amphictyons.
(An-fic-si-o-nie.)* ’ r r
- AMPHÎGTYOïMIQUEv adj. des a g. Qui
, a rapport au^’ conseil îdes âmphictyons (Anficsi-o-nic-e. ) * * ’■ , * * . AMPmCTYONS. s.’ m. pi : (Amphiktuon , gr.) Nom ^uè les Grecs donnaient auxTeprcsentants des villes qui avaient droil de suffrage dans le conseil des nations helléniques. (An-fic-sion.) . ( ■
AMPHIGOURI, s. m. (Amphigùros, gr.) Discours burlesque et inintelligible* (Anli-gou-ri. ) ( . ’ ' * :’< ] : / AMPHIGOURIQUE, adj. des 2 g. Qui a AMOINDRISSEMENT, s. m, Diminution. ( A-mou in-dri-se-man. ) AMOLLIR, v. a ; (Emollire.]) Rendre mou et maniable . j Fig., Rendre mou et efféminé. (A-mo-lir.) *
AMOLLISSEMENT, s. m. Action d’à ; mollir. (A-mo-li-se-man.) ’
AMOME. s. m. j( Arnômon, ) Genre de plantes originaires de Y Asie , à peu près semblables à nos roseaux.
AMONCELLEMENT, s. m. Action d’amonceler, ou Le résultat de cette action. ( A-mon-së-le-man. )
- AMONCELER, v. a. ( Mons. ) ( J’amoncelle
- J’amoncelais. T amoncellerai !) Mettre
plusieurs choses en un monceau. ( A-monse-lé ; ja-mon-së-le ; ja-mon-se-lë.) c * ’. AMONT, ad. ( Ad montent. ) Le’ coté d’où vient la rivière. Le vent est d’amont Pent d ’amont , Tout vent qui souffle de l’un des points compris entre le nord-est ;et le sud-, est, passant par Test (A-mori.) ( * ’ AMORCE, s. f. Appât pour prendre des poissons , etc. | Fig., Tout ce qui.*, attire.’ | La poudre à canon , le pulvérîn. , qu’on met dans* lé bassinet d’un fusil , etc ; : J Grain de poudre fulminante qui sert à faire partir une arme à piston. (A-mor.-se.) . , - , AMORCER, v. a. ( Admvrstts. } Mettre l’amorce. | Attirer. (A-mor-sé.)^ ’ * . "" -AMORÇOIR. s. m/ Outil dbnt l’artisan qui travaille en bois se sert .pour comment cer lei trous.* (À-mor-souar.) AMORTIR, v. a. (Ad, mors. Rendre moins ardent. | Affaiblir.] Amortir à ne dette. ^ AMORTISSABLE, adj.des.a’g. Qui peut être amorti. (A^mor-ti-sa-ble.) *’*■ ’ ' AMORTISSEMENT, s. m.* L’extinction d’une pension, d’une, redevance. |i.Lafa* culte donnée par le rorpour faire que des gens de mainmorte pussent devenir propriétaires , à ’ charge de. ne pouvoir vendre le fonds amorti. | Tous les ornements qui terminent des ouvrages d’architecture. ( Amor-ti-se-man. )
AMOtjR. . s. m ; ’- ( Ainor.) (Sentiment par lequel le cœur se porte vers ce qui lui paraît aimable , et en fait l’objet-.- de ses affections, de ses désirs. | Objetvers lequel l’amour se porte. V amour du prochain. Suje^dahs 1er le caractère de l’amphigouri. (An-fi-gou-ric-e.) quel l’amour réside.’ V amour, dès, pères. | AMP1USCIENS. adj. m. pi. (Amphi, skia y Amour-propre, ou Amour desoi, Lé sentiment gr.) Se’ dit Des habitants de la f zone torride. qui attache chaque homme ù son existence, (An-fi-si-in.) à ce qui lui est personnel :. La ; tp’assiou AMPHITHÉÂTRE, s. m. (Amphi, thea d’un sexe pour l’autre. Avec amour, Avec pour l’autre. ]
plaisir, avec soin. | Au plur.,, La personne que Ton aime passionnément. | Les choses qu’on aime passionnénfènt j Le nom de la divinité à qui les païens attribuaient le pouvoir de faire aimer. , , „ , ^ _ AMOURACHER, v. a. Engager dan$ de folles amours. ) Y. pron. Prendrejme passion folle. Fam. .’■.*.■ " . , . * tl t AMOURETTE, s. f. Amour ’de ; pur aj*utron, gr.) Grand édiûce de forme ronde ou ovale , dont le milieu était une arène destinée aux combats de gladiateurs ou de bêtes féroces. | Un lieu élevé par degrés vis-à-vis de la scène , au-dessus du parterre. | Lieu garni de’ gradins , où nn professeur fait ses démonstrations. . (An-fi-té-a-tre.) - 1 AMPHITRYON, s. in. Fam.-, Celui chez lequel, ou aux frais du q. ondî ne., (An-fi-tr.ironï-) AMPHORE, s. ï./nphora : j i u&e a Ucu*
