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Page:Nodier - Ackermann - Vocabulaire de la langue française.djvu/46

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anses dans lequel . on mettait le vin pour le garder. Mesure de capacité pour les liquides, qui contenait environ quarante de nos pintes. (An-fô-re.) ’

AMPLE, adj. des 2 g. (Àmplusï) Qui est étendu en longueur et en largeur au-delà de la mesure ordinaire. (An-ple.)^ AMPLEMENT, ,adv. D une manière ampie. (An-ple-man !) . •* . •,.,-•. AMPLEUR, s, t Étendue de ce qui est ample. (An-pleur.) * ■ ; -,

AMPLIÂTÏF , rVÉ. adj. Qui augmente ; qui ajoute. (An-pli-a-tif.). ^ ’ : ’ ~ TaMPLIATION. s. f. (Ampliaiio.) Le dou-f b]e d’une quittance, etc., que Ton garde ; (Ari-pli-a-sion.) ’ ■

AMPLIFICATEUR, s. m. (AmpUficator.) Celui qui amplifie. (An-pli-fi-ca-teur.)- ; AMPLIFICATION, s. i. (Amplification Discours par lequel on étend^ le sujet qu’on traite. (An-pH-fic-a-sion.) ,

AMPLIFIER, v. a. (Amplificare.) Étendre} augmenter par le discours. (An-pli -fi-é .) mi *i AMPLISSIME. superl. des a g. [Amplissimus. ) Très-ample, Fam, | Titre d’honneur qu’on donnait au recteur de l’université dé Çâris. (An-plis-si-me.) , * : - ’ AMPLITUDE, s. f. (Amptitudo.}l*igikè droite comprise entre, les deux extrémités de. l’arc d’une parabole. | L’are compris, -sur ;îâ sphère céleste, entre le point est pu le point ouest de L’horizony. et- le point du -même, cercle dans Jequel ini ; astrç se lève ou se çoudhc à Jour donné., (An-^li-tu-de.), !

' AMPOULE. V f. (Anipulld) Fiole, ,-la

sainte ampoule ,*» Fiole ,pù ^Ton ; conservait l’huile qui servait à* l’onction wdes rois dé France. I Petites fumeurs 1 formées par une certaine quantité de sérosité accumulée sous Atfl

i

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Ijépiderme/ ( An-pou 4e.) ^v * :f :* ; ; .’, AMPOULÉ ; EE. adj. (Ampûllatus) Enfle. ’ Discours ampoulé : r (Àn-pou-lé.) t - : • AMPUTATION : s. I Qmpuiatio)’ Opération par laqueîjé on enlève,’ à l’aide d’iristruments tranchants , ; ii ne partie , saillante dut corps. (An-puita-sjon.) v ; ■- ; ?/ ; L j* t AMPUTER, v.» a. (AmputareJ)} Fajre une i amputationv|AMPVTÉ. subst., Homme t quj a subi . une amputation. , (A n-pu-té.) h ,'/< t > ! AMULETTE, s. miAkmuletum^.QhUt,

  • portatif auquel ;pn ’attache une confiance superstitieuse.

, (A-mu-lë-te.), -.f : J.£ ’ ; j ’ AMURE, s. ï. Manœuvre.) cordage ser- . vant à (fixer le coin ;d’ une ; basse voile ; î . ÂMtfRER. v. a. fendre V’ramûre’ d’une voile. ,". tJ - - ; - t it )/r.^ 7 / | ; ( .’^MUSABLE* adj.- des. £ g. , Qui peut rètre amusé. (A-mu-aa-ble.)’ n ;m- t w i AMUSAOT,, rj ÂNTE. adj., Quî,4ivertit. (À-mu-zan.) /K _ï âJ ,,1.,’, * ^ iCi ,- ;, ,",., r ,’,* , AJWU^EMENT V s,, m^ : Ce -qui, divertit (I Perte de temps, : |Jron]perie ; (A-mu-ze^man f .) xAMUSER^ »"ir- :«*«-»«i~- !i-i’«ii ;««* de vaines espérances. JPron. , S’occuper par simple, divertissement, et -pour ne, pas s ennuyer. | Absol. , S’amuser , Perdre le temps. (A-mu-zé.) ;

AMUSETTE. s. f., Petit amusement. Fam. (A-mu-ië-tè.) ,* * ’ (

AMUSEUR, s. m. Celui qui amuse. (£.mu-zeur. ) .

AMUSOÏRÉ. s. f. Moyen d’amuser, dans le sens de Distraire. ’(A-nni-zoua-re.) v AMYGDALE. s/l(Amuffdale gr.) Chacune des deux glandes qui sont aux deux côtés de là gorge. (A-mig-da-le.) ’ " AMTGDÀLOÏDE. £ f. (AmugdaU, eidos, gr.) Pierre qui, au milieu d’une p,âte, renferme d’autres parties "ayant la forme d’une amande. (A-mig-d’a-lo-ï-de.)

AMYLACÉ, ÉE. adj.’ Qui ressemble- à l’amidon. (Armi-la-sé.J ’J r

AN.» s. m. (AnnnsS Le temps mit le soleil met a parcourir le zodiaque, et qui com-Î rend douze mois. | Les ans y L’âgé en général. Vàn de grâce., De’pùisda naissance de Jéus-Christ. ] Le jour de Van , Le premier jour

e l’an. I T.’, de iur ^ An et Jour. L’année réyoljiie,

et un jour ; par-aela. v , . i^ , „ ÀNÀ.t s. m., Terminaison ajoutée aiï’nom "~ u de —

d’un auteur ppur indiquer Un recûeij de ses .pensées détachées, etc. Le Carpcnûriana. Le ’Fureie’fjdna. | Isolé , désigne Un recueil de ce .genre.-l’^es^ drogues qu’op mêle ensemble en egaïe quantité. ■ .

lANARÂPTISTÉ’/s ;; et adj. ies 2 g ! (Ana, fiapiisiéb, %r ]m ) Nom d*une secte de chrétiens qui soutiennent qu’on ne doit pas baptiser les enfants avant l’âge de-raison. (A-riâ-batis-te. ) / ■ ; , * »

NA CARDE, .s^ ih. (Anafiardia, gr.) Fruit’ en 1 forme dé cœur , dont l’amande est bonne, a manger. . , .

ANÀCARblER, s. m/ Arbre des Indes orientales, qui produit les anacardes. (A-nacar-die. ) •>. . (

’ ANACHORÈTE, s,. ; ni. {Anachorètes ; gr.)

Religieux qui vît ’seul dans un désert. (A-na- <co-rè-te.) - ’ ' ’ r .. ( J

, ANACHÎEtÔNISME ; s.’ m : (Ana, chronos, gr.) Faute contré la" chronologie. | Toute, er reur qui consiste à ’attribuer des usages, des idées* , etcV, aux, hommes d|une époque où ces idées» ces, usages pétaient *pas connus. (Â-na-cro-nis r jme.) .. r 4 -v/ ANACOLUTHE. &> {^A u aMlouthès v %c.) .Ellipse par laquelle’ on omet , t dans une phrase , le mot qui est le corrélatif ^ordinaire de l’un - des mots exprimés, (A-na-co-lu-te,) ANACRÉON^QU^r âdj^ des/ ^ g. Qui est : dans le eenrë dès odes d’Ahacrébn/fAna-cre-pn-tiq-e. ) * : t , , , p , ÀNAG ALLIS- ; s. -m. V* MÔuApir ; ; -"ÀNÂ’GNOSTE. s. j Tn. r ÇAnagnostés Jk p.) Nom que les Romains ’donnaient à celui de r.»v". a fî Faire perdre le temps ! I, fleurs’ esclaves qui’ faisait’ la lecture pendant DiverUr parades choses agréables. (Repaître yes repas. ’(A-nag-nos-te^ ^