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Page:Nodier - Inès de Las Sierras, 1837.djvu/268

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être, et les efforts les plus assidus, les plus obstinés, ne purent lui arracher le secret de son nom. »

— Ce dernier endroit de la narration de Pablo venait de me rappeler sous un aspect tout-à-fait nouveau le souvenir d’un ami dont j’avais reçu le dernier soupir. Mon sein se gonfla, mes yeux se remplirent de larmes, et j’y portai brusquement la main pour cacher mon émotion aux personnes qui m’entouraient. Pablo s’arrêta comme la première fois, et attacha sur moi ses regards avec une attention encore plus marquée. Je pénétrai facilement le sen-