Page:Nodier - Smarra ou les démons de la nuit, 1822.djvu/132

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Jamais je ne pourrai ajouter foi à ces vieilles fables, ni à ces jeux de féerie. Les amans, les fous et les poëtes ont des cerveaux brûlans, une imagination qui ne conçoit que des fantômes, et dont les conceptions, roulant dans un brûlant délire, s’égarent toutes au-delà des limites de la raison.
Shakespeare.