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L’ÉPILOGUE.
Oh ! qui viendra briser leurs poignards, qui pourra étancher le sang de mon frère et le rappeler à la vie ! Oh ! que suis-je venu chercher ici ! Éternelle douleur ! Larisse, Thessalie, Tempé, Flots du Pénée que j’abhorre ! ô Polémon, cher Polémon !…
« Que dis-tu, au nom de notre bon ange, que dis-tu de poignards et de sang ? Qui te fait balbutier depuis si long-temps des paroles qui n’ont point d’ordre, ou gémir d’une voix étouffée comme un voyageur qu’on