Page:Nodier - Smarra ou les démons de la nuit, 1822.djvu/139

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glisserai l’autre dans les boucles de tes cheveux, je respirerai toute la nuit le souffle de tes lèvres, et je me défendrai d’un sommeil profond pour pouvoir te réveiller toujours avant que le mal qui te tourmente soit parvenu jusqu’à ton cœur… Dors-tu ? »