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Elle presse de ses lèvres les joues fraîches et colorées des petites filles qui pleurent sans comprendre tout-à-fait le sujet de leur douleur ; mais elle ne peut se détacher du berceau où repose le dernier né de ses enfans. Elle s’y fixe comme pour l’entraîner avec elle[1].
Son frère la saisit d’une main sévère, la pousse vers le coursier rapide, et vole avec elle a la maison de Pintor.
Elle n’y demeura pas long-temps. La semaine étoit à peine achevée, qu’une femme si belle et de si noble
- ↑ Une femme répudiée n’a pas le droit de revoir les enfans qui sont nés de son premier mariage.