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seuil de la maison natale, la trace des pas de sa mère[1].
À peine la malheureuse femme d’Asan a laissé tomber ses yeux sur cet écrit, elle regarde, elle hésite, elle attend, et puis elle se soumet ; car l’ascendant de son frère la domine.
Prête à les quitter, elle baise avec ardeur le front de ses deux jeunes fils.
- ↑ Da gre s’gnime majci u zatraghe.
Cette condition du divorce chez les peuples que nous appelons barbares, a quelque chose de sublime. Elle suppose l’infortune non méritée d’une femme qui a encouru la disgrâce de son mari, sans cesser entièrement d’être digne de sa mère.