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Page:Normand - À tire-d’aile, 1878.djvu/166

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XIV

RÉPONSE.


Pour te dire ce que je sens
Près de toi, mon unique amie,
Trop faibles seraient mes accents
Et ma voix trop mal affermie.

Pour te dire quels sont mes maux
Loin de toi, quel souci m’oppresse,
Insuffisants seraient les mots
Cherchant à peindre la tristesse…

Ah ! sache-le ! sache-le bien !
Il est des tendresses humaines