Page:Normand - À tire-d’aile, 1878.djvu/176

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Vers l'horizon blanchi par l'aube qui se lève,
Ô canon, tourne-toi ! sans repos et sans trêve
Lance le lourd obus aux sifflements hardis !…

Inactif et glacé maintenant tu reposes :
Mais les cœurs que brûla le feu des nobles causes
Sitôt que les canons ne sont pas refroidis.