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III

BELLE ÉREMBOR.


(Imité d’une chanson du XIIe siècle[1].)


À J. CLARETIE.


Quand revient mai, que l’on dit au long jour,
Voici passer, retournant de la cour,
Près le château d’Érembor la donzelle,
Les Francs de France. En tête, sur sa selle,
Passe Renaud, l’œil baissé, l’air marri :

Hé ! Renaud ami !

  1. Leroux de Lincy, Recueil de chants historiques français, t. I, pp. 15-18.