Page:Normand - La Muse qui trotte, 1894.djvu/104

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Qu’importe ! Ferme sur tes bases
Ô Cirque, tu sauras toujours
Montrer, parmi le flot des gazes
Et le chatoiement des velours,

Les bras tendus comme des ailes,
Sous l’œil enflammé du pompier,
D’intéressantes demoiselles
Trouant des cerceaux en papier !