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BOMBARDONS ![1]
refrain prussien




Janvier 1871.


Dix heures ont sonné. Vite ! quittons la table.
La table copieuse où nous nous attardons…
Aux pièces ! Bombardons cette ville imprenable :

Bombardons, bombardons !


Par ce froid glacial s’endormant à leur aise,
Les Parisiens ont chaud sous leurs fins édredons ;

  1. Cette petite fantaisie « demande » à être dite avec un fort accent tudesque.