Et l’apaisement désiré ; Mais, ô Dieu tout-puissant dont la bonté m’outrage ! Et ma revanche, je l’aurai !
Fouillera les cœurs déchirés, Et les échos hurleurs de ces rives de joie La douleur des désespérés ! »
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Et c’est pourquoi, les temps venus, sur une roche Sur une roche au bord de l’eau, Le Diable, en un recoin de la corniche blanche, Le palais de Monte-Carlo !
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