Réclame un air paisible et pur ; Là que les attendra le repos salutaire… D’un nom charmant : Côte d’Azur ! »
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Telles furent, jadis, les paroles divines. Comme il baguenaudait par là, Il put — car Dieu n’est pas assez prudent — l’entendre, Entre ses dents il grommela :
Par les chemins les plus divers, Admirer, chaque hiver, cette ardente nature, Sous le ciel bleu, près des flots verts ; |
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