Page:Normand - Soleils d’Hiver, 1897.djvu/32

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.



Sèche comme une bank-note,
Le cou raide, l’air cassant,
La voilà qui trotte, trotte,
Jetant une fausse note
Sur le ciel éblouissant…

Et je crois — ô rêve étrange ! —
Voir, dans un cadre agrandi,
Sur cette beauté qu’il change
Le Nord jaloux qui se venge
Des conquêtes du Midi !