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saints, des confesseurs et des vierges : c’était le terrible sceau de la malédiction éternelle.
La sourieuse, sa fin surtout, fit une impression profonde sur les imaginations naïves de la contrée, à preuve cette épitaphe que nous avons lue, à demi effacée, sur une très vieille croix de pierre, dans le cimetière où elle est enterrée :
Prions Dieu qu’elle n’arde
D’enfer en ce moment,
Car son souris elle emporte
Au dernier jugement.
Pièce parue à la Revue du Monde Nouveau, le 1er avril 1874.