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ansUI<e’ ronde. batardfi.

— Abr^’. Comme sipnc abrt^viaiif. la lottre E marmie IVst ou l’orieni sur la boussolo. aussi bien que surlos cartes p^opraphiques. les cartes marines et les livres de voyaire : U trnt soufflait F.-S.-E., A.-E. (lises : Le vent ioûfpoit est’Sud-est, norit-est.)

E, dans los Iriires. dpïires dtMlcatoire ?:, journaux, palettes, et pt^ni^ralemcni dans les livres d histoire moderne, s’emploie souvent par abrtSviation pour Excellence ou £"011nence : S. E. le mtniitre de t instruction pubtitjue : S. E. le enrHinnl GouMsct, etc. ^lisez : Son Excrllenre le minixtre de l’inttruction publique : Son Eminence le cardinal Gousset).

— Epitrr. Dans les inscriptions romaines. E soit soui, soit suivi d’une on de plusieurs lettres, est l’abréviation do

^mois connus et faciles à rétablir, commençant par cette vovolle. comme ex, de. par suite de ; edilis, édile ; etas, âge ; (h)eres, héritier ; equrs, chevalier ; ejus. de lui, son : etc.. ou de noms propres comme Enniut, hufjenxns, etc. Mais il entre, en outre, dans une foule de formules qu’il est nécessaire deconnalire ponrdéchiffrerune inscription. Telles sont, parmi les plus ordinaires ; E Q. R., equcs romanns, chevalier romain ; E E Q Q. R R.. e^rii/e ? romani, chevaliers romains ; E. V., egreqius vir ; E E. V V., egregii viri ; E. H. 1.. 1 VS. POT.,rx kac teçe Jus potestasque esta, que cette loi concède le droit et le pouvoir (de faire la chose désignée ! : E M. V., eminentissimus vir ; E. M. V.. egreqiiP memonr 1 ir. homme d’heureuse mémoire ; E. O. B. Q.. ei otsn bene qmescant, que ses os reposent en paix ; E. Q. D D., ecdemque dedieavti, et la mémo l’a dédié : EQ.R. P.. eqnitis romani filius ; E. R. P.. c re publica, aux frais do rEui ;E.T..c/c*Mmen/o. d’après son testament ; E.V.L.M., ex veto libens merito posait, conformément à ses vœux il a élevé ce monument ; E. V. S., ex voto suscepto, à la suite d’un vœu ; EXCT.. fjcu«ari«, excusé ; EWh.,exemplum, exemple ; E X-S.C, ex senatus consulta, d’après un sénatusconsulte ; E. R., ea r«, cette chose ; EV.,ft’oca/u«, appelé ; E X. S. P. F-, ex sua peennia fecit, à ses frais ; E X. T. ou P R.. excepter tribuni. groftîer do tribun, ou prsefecti, du préfet ; etc.

— Gramm. II y a trois sortes d’e :

L> muet, ainsi appelé parce qu’il no se prononce pas, comme dans «oipriB, ou parce qu’il se prononce faiotcmenl. comme dans mnndK.

L> fermt’. ainsi appelé |)arce qu’il se prononce la bouche presque fermée, comme dans buntK, cochEr, assKz.

L’p ouvrt, ainsi appelé parce qu’il se prononce la bouche presque ouverte, comme dans surcpj, regry.t, pp.lle.

— Gramm. comp. yuand les organes vocaux parcourent d’une manière continue l’échelle des vojolles, ils rencontrent, en passant du son a au son 1, le son intermédiaires, sous la forme d’abord de l’c ouvert (<*i. qui est plus voisin de l’a, puis do l> fermé {é), plus proche do 1 i. L’e peut donc être considéré, dans beaucoup de cas, comme un atfaiblissement de l’a. Ainsi, l< ?s formes éolo-doriennes en • long donnent en ionien des formes en r, ou e long ouvert : céifti = ri, :^^ : le verbe latin jicio fait au parfait^eci ; le latin paier aboutit au français père. Les Grecs avaient Ve bref ou epsilon («( et l’éta i» ;i. prononcé e long jusqu’à létablissorot-nt de Tioia-isme qui s’est produit à l époqu>* byzantine. I^ latin possédait un e bref, qui prit la prononciation de I> ouvert, et un e long, correspondant à notre e fermé.

truand on considère l’histoire de la voyelle e dans son

ftassage du latin en français, on voit que : l* l’e atone tombe plus souvent (sauf quand il est initial) : mare = mer ; t* <xxe l’e tonique entravé c’est-à-dire suivi d’un groupe de consonnes) se maintient généralement : strptrm = sept ; S» que 1> tonique non entravé devient i> quand il est bref et. par suite, ouvert : mel => miel ; et ci, puis 01, quand il est lont- tt. par suite, fermé ; me = mei = moi.

— Mathém. I^o nombre e est un nombre incommcnsa*

rable défini par la limite de [ 1 -f- — ) , quand m augmente

iodéftniment ; le binôme développé s’écrit :

I.e nombre e a pour valeur 2,718281828... ; c’est la base des loL’ariihmes népériens,

— Mus. Oans la nntaiion boétienno et la notation prépnrieniie, la toiiro K ’•• <■■• :’»"•’» |p rinquième degré de réciii-lie musicale. ■- ■ nu mi. DaiK celle-ci. l’E ma !■> le mi grrr ■ ■-- ’■■ que le 'm >•• . ’■■ ivi’ snpéri né par Vr mmu’sciile. Pans 1 .ii Komanus. relatif aux or- _ neiii’^MN M ctiant. lE ’*i(rniti.’iit rnunlis

(iinisson . Il en était de même dan’i la notation d’FIermann Cou tract K-i*i-i. r>st par la lettre K qu’on désigne la finale du trois iiiathéme ton dn plain-^hant.

— Nui Grecs. IV bref ou epsilon, employé comme v -■, jne, valait 5 quand il était accompagné d’un accent placé en haut et à droite |i’) et S-OOO quand l’accent était placé eo bas et à gaucho (,i). — De

mAme, t’e long ou ^ta, accentué en baut ot à droite (11) valait 8, et, accentué en bas et à gaucho (,11), il valait 8.OOO. ChezlesRomains.E fut aussi emnloyéquolquefois comme signe numérique. 11 valait ^00. ii II valait S&o dans la manière d’exprimer les nombres au moyen &go ; d’où lo vers :

E quoque ducentoi et quinqnagimta tmebit.

Dans les calendriers ou les tables do chronologie liturgique. E est la cinquième des sept lettres qu’on nomme (/o»it>iica/c«. C’est aussi la cinquième nundînale.

E mar(|ue de même le cinquième rang dans une série d’objets désignés par les lettres de l’alphabet : Le casier E, te rauon E.

— Numism. I.a lettre E. que l’on voit sur les anciennes pièces de monnaie françaises, désigne particulièrement celles qu’on frappait dans la ville do Tours.

Ë (du lat. e, de préfixe initial qui indique tantôt une idée d’extraction, do sortie, do séparation, de suppression : y.cosser. faire sortir de la cosse ; v.rafler, étor la rafle ; Mie niller, enlever les chenilles ; tantét une idée d’augmentalion. d’addition, etc. : Èhrécher. ûbruiter, nchauffer. Ses variétés sont : ef, es, ec ou ex, suivant les cas, comme dans tscompter, v.xhttmer, etc.

ËACÉE (lat. .Ecea), nom donné, dans l’antiquité, îi l’Ile d’KL :ine. en l’honneur d’Eaque.

ÉACÉES («(*) ou ÉACXES («0 n.f. pi. Antiq. FÔies que les Kginéies avaient instituées en 1 honneur d’Eaque, leur roi, fils de Jupiter, et dans lesquelles les vainqueurs des jeux consacraient leurs couronnes dans le temple d’Eaque.

EaCHARD ou Echard (Laurent), écrivain anglais, né A Cassam (Sutrolki en 1671. mort en 1730. Il publia plu-Mcurs ouvrages en anglais, notamment : //istoire ecclésiastique de FEmpire (1702) ; Histoire d’Angleterre depuis Jules C^j(ar(17û"-ni8) ; Histoire rotnaine, qui a été traduite en français (1728-1789) ; Dictionnaire de gt^oyi-ap/iie ; etc.

ÉacidE, fils d’Aribbas ou Arvmbas, roi des Molosses. Pépossédé de sou royaume par Pbilippo. roi de Macédoine, uui en avait disposé en faveurde son beau-frére Alexandre, il se réfugia à Athènes et ne recouvra la couronne pat’ ^rnelle qu’après la mort do ce prince, en 32R av. J.-C. Il mourut 1 an 313, pendant une guerre avec Cassandre. qui s’était allié avec ses sujets révoltés et l’avait de nouveau chassé de son royaume.

ÉaCIDES. nom donné aux descendants d’Eaque : Pelée, Ai’hille, Pvrrhus ou Néoplolème, etc., d’une part, et, de 1 autre, Télamon, Ajax, Teucer, etc. (Les anciens rois d’Epire. qui prétendaient descendre de "Pvrrhus, fils dAcbille. prirent le nom d’Eacides.) — Un, Une Eacide.

ÉACIES n. f. pi. Antiq. gr. V. éacêiîs.

EadmCR ou £jDMER, moine bénédictin, disciple d’Anselme do Cantorbérv, mort vers 1124. Abbé do Saint- .lban en 1120. il fut nommé évéque de Saint-Andrews en Ecosse, mais le roi refusant de le laisser sacrer par larchevèque de Cantorbéry, Eadmer renonça à cette dignité et mourut simple moine dans l’abbave de Cantorbéry. Il a laissé : Histona novoriim, conlenantla biographie des trois archevêques de Cantorbéry : Lanfranc Anselme, et Radulf (l.23) ; la Vie de saint Wi’lfrid, et la Vie de saint Osxcald, nrohevéques d’York, dans la collection Anglia sacra {l. II). On lui attribue aussi un ouvrage consacré à l’exaltation île la vierge Marie, qui avait été attribué à saint Anselme.

EaGLEHAWK, ville de l’Australie (colonie do Victoria,

i-omté do Bendigo]). sur le versant septentrional du Divi-

<hng Range ; 7.30o’hab. Centre minier.

Eagle-PASS, ville des Etats-Unis (Texas), sur lo rio Grande del .Norie ; 2.800 hab.

Ealing, ville d’Angleterre (comté de Middlesex) ; SO.OdO hab.

ÉancÉ, comm. d’Ille-et-Vilaine, arrond. et à 35 kilom. lie Vitré, sur le Scmnon ; 996 hab. Ardoises, moulins.

ÉANTÉES OU ÉANTIES n. f. pi. Antiq. gr. V. .«ANTIES.

ÉanTIDES. Antiq. gr. V. /E.kntidh.

ÉaQUE, 1 un des trois juges dos enfers, dans la mythol’ii ^’ir- hellénique. D’après la légende. Eaquo était un ancien roi d’Egiue. Il était tils de Zeus et d’Egine ou d’Europe. Il fut le pèro do Péléo et do Télamon, et l’ancêtre des Eacides. Do son vivant, il fut honoré dos dieux pour sa justice. Il fut mémo choisi pour trancher un différend qui s’était élevé entre eux. et qu’il termina à la satisfaction générale. Il fit cesser une grande sécheresse qui dés’dait la Grèce, on offrant des sacrifices à Zous Panhellénton. Plus tard, la famine et la peste ayant dépeuplé ses l’itats, il obtint que Zeus changc.’it en femmes toutes les fourmis d’un chêne sacré. Enfin, il aida Poséidon et Apoll’ ^n ii consiniiro les murs de Troie. Après sa mort, il fut chargé de juger les ombres, avec Hhadamante et Minos ; il est souvent représenté dans ses fonctions de juge sur les monuments figurés, notamment sur les vases points. II était surtout honoré ù Egine, où on lui avait élevé un temple.

CARIAS (é-a-ri-ass) n. m. Genre d’insectes lépidoptères b imbycines. famille des nyctéolidés, comprenant de petits papillons dont les chenilles, en forme de fuseau, vivent,

comme celles des lordeuses. entre des feuilles qu’elles réunissent avec de la soie.

— Encycl. Ucs nombreuses

espèces du genre carias sont

répandues surtout dans les ré-

f rions chaudes : deux seulement labitoni l’Europe, comme Vea-

rma ehhtrana de France, verie,

avec les atles inférieures et la tête blanches. Une espèce Voisine attaque les cotonniers, en Egypte. La chenille de Vmrins chhrana est parfois très nuisible aux saules.

ÉARINE n. f. Genre d’orchidées, tribu des épidendrées, comprenant des plantes caiilesrentes. à rhizome rampant, il tleurs petites, originaires do la Nouvelle-Zélande.

Eari. on EaRLE ^Jean^. théologien anglais, né & York en 1601. mort  l^ndres on 1665. Il étudia & Oxford, suivit Charles II en exil et devint chapelain de ce prince. II s’att-Tcha en France A la fortune de Jac(|ties, duc d’York, et, ii la Restauration, fut évêque de Worcester. puis de Salisbury. Il a laissé une traduction latine de l’^'iA’^n basiliké (image du roi) et un ouvrage intitulé : Microcosmographia.

EariM (çr. nat.).

£aRLC (James), ehirurgioD anglais, né à Londres en 1755, mort en 1817. Il étudia les déKirmatioDS do la colonne vertébrale commo Percival Dott, son maître. On lui doit aussi de bons procédés de traitement de l’hydrocèle, des calculs vésicaux et de la cataracte. Outre les éditions des «euvres do Doit, il a laissé : Observations pratiques sur l’opération de ta pierre (171)6).

EarLE. inventeur américain, né et mort à Leicester iMassachusotis) [1762-1832]. Il inventa, en 1790, la machine à carder, encore usitée aujourd’hui, et grâce à la- (|uello un travail manuel do quinze heures s’accomplit eu quinzo minutes.

EaRLE (Thomas), jurisconsulte et écrivain américain.

né A l.eicester (Massachusetts) en ni’I, mort ù Philadelphie on 1849. Il fut d’abord commerçant, puis droit, se fit inscrire au barreau de Philadelphie, acquit une

grande réputation, et se lança dans la politique ; il fut canidat à la vice-présidence en »o, mais échoua. Earlo a publié : Essai sur la loi tuhinle ; Essai sur les droits qu’ont les Etats de modifier et a’annuler leurs chartes ; l’raitt’ sur les chemins de fer et les voies de communications intérieures il830) ; un Trnitt^ rfV ;)c//ri/ion. qui fut longtemps en usago dans les écoles primaires do Œ Pensylvanio ; etc.

EaRLESTOWN, ville d’Angleterre (comté do Lancastrei : 5.500 hab. Mines do fer, fonderie de for.

Earlom (Richard), graveur à l’eau-forlo. au burin et à la manière noire, né et mort à Londres (1743-1822). Ses planches sont très nombreuses. Les moilloures sont à la manière noire. Dans ce genre, où il n’a pout-être pas do rival, on cite, entre autres : Salon de Londres ; Sorcière, d’après Teniers ; Silène ivre, d’après Rubens. Il a pris parfois le pseudonyme de Poirche {Henry).

Earls-BARTON, ville d’Angleterre (comté de Nor-

ihamptoni. près du Nen ; 2.600 hab. Eglise.

Earl-SHILTON, bourg d’Angleterre (comté do Leicoster ) ; 2.'>00 hab. Bonneterie.

Earlston ou ErCILDON, bourg d’Ecosse (comté de Herwiok), dans le Lauderdale ; 1.800 hab. Manufactures do toiles et guingamps. — Patrie de Thomas Learmont, dit Thomas le Jihymer, poète du xiu* siècle.

EaRLT (Jubal). major général au service des Etats confédérés du nord de l’Amérique, né en Virginie vers 1S15. Il servit dans l’artillerie. En 1838, il démissionna, étudia le droit et devint avocat. Il fit la guerre du Mexique comme major d’un régiment de volontaires virginiens. A la guerre de Sécession, il servit en qualité de colonel dans l’armée confédérée, prit parti la oataillede Bull’s-Run, dont il assura le succès. Brigadier général en 1862, il remplaça, en 1863, le général Ewell. grièvement blessé. Promu major général, il commanda les troupes confédérées dans la vallée de la Shenandoah. et arrêta momealanément les progrès du général Sheridan.

Earn (loch), lac d’Ecosse (comté de Perth), à 5 kilom. de Comrie ; 15 kilom. de longueur sur 1.600 mètres de largeur. Il baigne une petite île sur laquelle fut bâti un château dont les ruines seules subsistent.

Earn {rivera rivière sortant du lac Earn et qui, après un cours très sinueux de 70 kilomètres environ, vient se jeter dans le forth du Tay.

EarSDON, bourg d’Angleterre (comté de Northumber. lan-i), près de la mer du Nord ; 17.000 hab. Charbon do terre et pierre à bâtir.

EARSE n. m. Dialecte gaélique de ^Ecosse.’^ ERSB.

EasdalE, île d’Ecosse, une des Hébrides, près de la côte du comté d’.rgyll : 520 hab. Carrières aardotses, réputées les meilleures do la Grande-Bretagne.

Easington, paroisse d’Angleterre (comté de Durham), près de la mer du Nord ; 9.300 hab. Importantes houillères, gisement iiiagnésifère.

EasiNGWOLD, viIIed’Angleterre(comté d’York [Northlîidingi ) ; 2.500 hab. Aciérie.

Easky, paroisse d Irlande (prov. de Connaughl [comté de Slii :ojj. à l’embouchure du fleuve côtier fi’niAry, entre

!<-s baies de Killala et de Sligo ; 3.500 hab. Pêcheries de 

saumon, pierre ù cljaux.

East-baton-ROUGE. comté des Etats-Unis (Etat de l.onisiunel ; 2’ ;.000 hab. Cli.-l. Uaton-Houge.

EaSTBOURNE, ville d’Ançletorre (comté de Susscx), près du cap Beachv : 34.975 hab. Hôpital, établissement de bains do mer. feglise gothique. Le rocher de Beachy était autrefois célèbre comme lieu de rendez-vous des I onirebandiers. Eastbourne est, à co que l’on croit, le Portât Andenda des anciens.

EaST-CLEVELAND, comm. des Etats-Unis (Ohio [comté do Cuyalini :a : 5.MO0 hab.

EAST-DEAN,bourg d’Angleterre (comté do Gloacestor) ; 1 1.700 hab.

EaST-DEREHAM, ville d’Angleterre (comté de Norfolk :

.-..-.20 hab. Fonderies do for ; fabrique d’instruments 

et machines agricoles.

EasT-GREENWÎCH, ville des Etats-Unis (Rhode-Tsland). ch.-l. du comté de Kent, sur la baie de Naraganset ; 2.500 hab. Bon port. Industrie manufacturière.

EaST-GRINSTEAD, bourg d’Angleterre (comté de Sussey ) ; 7.000 i,ii)>. SachUle Collège, fondé en 1609 par Rol-i-rt Saokville. deuxième comte de Dorset.

EAST-GRÏQUALAND. Géogr. V. C.RIQt’ALAND-EST.

EastlaKE sir CliarlcsLocK), peintre anglais, né à Plymoulhen 1 :1*3, mort à Pise en 186 :.. Il se forma A l’académie de Londres. En 1815. lorsque le /’c//éropAoH vint jeter l’ancre à PIvmoutb. Easilakc obtint de faire, d’après nature, une étudosur Napoléon, et c’est le dernier portrait de l’Empereur exécuté en Europe. En 1817, Eastlake visita l’Italie ; après un séjour de plusieurs années à Venise et à Rome, il composa do nombreuses scènes de brigands çrecs et italiens. Citons, notamment : le Brigand protégé, te Spartiate l^adas, /’èlcrins en vue de la ville sainte (1828 cette dernière toile répétée avec quelques variantes en 1835 et en 1836. le Hère de lord Bi/ron (1829 ;. Au mois de décembre de la même année, il fui élu membre de l’Académie royale. A partir de 1839, il se consacra aux sujets religieux : le