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GILOTIN ■• — H*i n, dfi Gefaiaim Gilol^ docteur di» Sor- ..__ ...-^ .... i.....„r do ces

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QtLOTIN, un !■■- !•- i» :« du tufnn.do Poiloau.lo

C’infi’Ipnt ilu (ir^lai el lo vigilant poiirvovour do sa lablo.

GlL-PÊRÈS Julcs-CharlcB-IVr^s Joi.in, difi, actoiir

romh|uo. n^ li Pan» on Ut :, luori à Vanvos en 18SJ. Il

joua au Gvmuaso. à la GaKé, à la Poric-Saini-Martiii,

,,,,>^. ...« )’«'>;, au Vaudovillo, où il fonda sa rt^putation,

i IH55, BU l*alais-Uo>al, où il resta pn’^s de

Au.i. Atteint it’alu^uation mentale, il mourut

... 1 . . ^.,j^ Ploin de verve, de rondrur et

^ meilleurs i*omi»iues de son temps.

t V où il eut lo plus do succès : la

itif..- ,r,r c.i-n- nin, tr Plus heurvttX dts troi$, Ole.

GiLSLAND. viUaffO d’Anpletorro (comté do Cumberlan >l . sur 1 Iribing, afHuoDt do l’Kden ; SOO hab. Sources

•ulfureuso».

OIMBLETTC (jin-bUC — du prOTOnc- mod. gimbeletoon Çimbleto) D. f. Sorte do croruigooles, à pàto sèolio, en formo d’ooncau. a iiAtoau d’ooiremels, garni do conlitures.

GnCBORN. ville d’Allemagne (Prusse-Rhénano [présid. de Cologne^. prts de la Sulze. sousafrtueni do la Siog par l’Aller ; 3. 303 hab. Forges et fonderies do foret d’acier.

GlMXX, cnmm. do la Corrèze, arrond. et à 6 kilom. de Tulle, sur la MonUne ; 1.993 hab. Ch.de f. Orli^aos. Chutes de la Gtmlle. au nombre do cinq. Kuinos d’un ancien château ijui fut l’un dos plus importants du bas Limousin.

GlMIGLIANO. comm. d’Italie (Calabre [prov. de Catanjaro . sur le lorrenl c6tior do Catanzaro ; 4.792 hab.

GlMIONANI Giaointo>, peintre et graveur italioD, né et mon à Pisioie (UU-I68I). élèvo do Piètre de Coriono. Sa première fresque. l’Apparition de la croix à Constantin. peiDl« dans le baptistère do Saint-Jean de Latran, lui valut SOQ admission à la confrérie de Saint-Lac (1630). On voit do lui. à San-Francisco de Pisloio, un Saint lioch au milieu dei saints pairons de la ville {16Z») : le Christ et saint Pierre, le Miracle de saint Pierre, etc. La galerie do Florence renferme lo Héro et Léandre. qui fut longtemps attribué au Guerchin , puis lo Saint Egide (^ saint Gilles) trouvé dans une grotte par des chasseurs, qui avait appartenu à l’hôpital de Sania-Maria-Nuova. Commo graveur. Oimigoani a laissé une vingtaine d’eaux-fortes, exécutées d’une pointe babilo. légère et facile, représentant, pour la plupart, des danses aeofanis.

GlMXX. Myth. scandin. Résidence céleste, située dans la partie sud’ du monde. (Elle subsistera mémo après le Racrnarok Me crépuscule des diouxj et los hommes pieux riiabiteront pendant l’éternité.)

GnfONC, rivière de France, née dans les Hautes-Pyrénées. File Unit en Tarn-et-Garonne et appartient surtout au Gers. Descendue de Lannemczan, elle traverse Gimont, Beaumont de Lomagno et gagne la Garonne près de Castel-Sarrasin : 133 kilom. Elle n’aurait pas a’eau en été sans le canal do la Nosto.

GxiCONT, ch.-I. de cant. du départ, du Gers, arrond. et à îfi kil’im. d’Auch. sur la Gimone ; î.837 hab. Ch. de f. Midi. La ville, éditiée en bastide régulière, au xiii* siècle sous le nom de Franehevitle, pourvue d’une nouvelle Charte, en I3}3, par le sénéchal de Toulouse Jean de Trie, fît partie, jusau’en 14*9, du comté de Toulouse, puis de la Gascogne. Belle église gothique du xiv* siècle. Commerce de vins. Au pied de la ville, chapelle de Notre-Dame do Cahuzac, pèlerinage fréquenté ; & 1 kilom. belles ruines de l’abbaye cistercienne de Plansclve. — Le canton a 1 1 comm. ot 7.794 h.

GIN {djin — mot aogl., abréviat. ot corrupt. du mot franC’ genièrfre) n. m. Eau-do-vio do grains (orge, blé, avoine), fabriquée en Angleterre et en Ecosse.

GlM fPierre-I^ouls-Charlcs), publicisto et helléniste, no et mort à Pans <i6-^(ii. Conseiller au parlement et BU Grand Conseil avant la Révolution, il fut emprisonné, en 1793. pour un plaidoyer adressé à la Convention en faveur du roi. Après son élargissement, il vécut dans la retrailo, cultivant los lettres. Gin a combattu los doctrines des ptiilosophe^ et défendu le principe de la monarchie. On a de lai : De l’éloquence du barreau ’ 1767) : Vrai* principes

^^ fjr,.- ’ 'rancaii (1777) ; De l’influence de la musique

9ur ’ 1802 ■. Discours sur l’histoire universelle

(ISf’. n d*« l’ouvrae" de Rossuet ; Anah/se rai-

foi’i traductions de r//ia/fp,

d’/y / ,es do Virgile, des //a-

ran’, :ii_> ; etc.

GXN AIN Louis-Kugonei. peintre de irenro français, né à Pan-* on Mi«. mort on 1886. Il fut élève do Chariot et d’Al»cl de I’- ’ * ’ ■*>uta au Salon de 1839. Doux ans plus urd, *i, v>n tableau te Due d’Aumale

pendant /i T-n-nh, fut romarqué ; lo duc de

Montponsr ’ , ,,. avec lui en 1844. Ci-

tons de l< ,/. /„ Bataille de Ma-

rm’in. /--T ,^,, /rt /{entrée à Par>*

d’Tt ’ fi août fS59. pour los

l’empereur à Alger, la

rit'> i ’^ rendant à tn mosquée,

la ram ; i ; ,c / .1 , r u iii’j, JtUraUc des cavaliers d’Abdtt-Kader, la Iterur i«78), etc.

GxNAIN PaiiI-Kon-’-I>on1, ar. 1 ■ ais. frère

du précédent, né et mort a Par. Klèvo do

I.,ebas. il roTni»nrt.i l*» prix -1" lî^m-, r iu Gt/m-

nase. Dur.i <r<ri^s

les ruinr^ ,,,ofi

très rem.ir ^,u

du Louvr- r],,,j.

A Paris. .1 , i|i-

niquo dos 1 1 - - -M. il était prof’jAïtour al Lwio ^i■ !s beaux-arts depuis i&au.

GlNATIlJiN, bourg do l’archipel des Philippines «fie Cébu) : 9.410 hab.

GiNOGLT (Antonin), historien tchèque, né et mort à Prague 1829-1892). Il fut professeur d’histoire à lunivcrsité d’Olmûu et & collo do Prague. Il a écrit en ichèi)uc

et en allemand, ot n surtout étudié l’époque de la guerre de Trente ans, dont il a publié mw histoire complète (1869- 1880). On lut doit encore : Histoire des frères Moraves (l85ti-l8S7) ; Hodolphe il et son temps (1802-180S) : Afonnmenta histonr hofiemica, dt t6tS à tÔSS (1864-1867) ; etc.

GINDRE(jin(fr’— pourjoindre ; du lat junior, plus joune) n. ni. Oiivrior boulanger qui pétrit lo pain.

GiNER DE Los RiOS (Krancisco philosophe espa-

fnol. né en IK40. professeur do philosophie au droit & université centrale de Madrid. Il a contribué & répandre on Kspagno le svslèmo philosophique do l’Allemand Krauso, après Saiiz del Rio. Il a traduit VEsthétique de Krauso ot divers ouvrages do Leonhardi et de Rooder, publié une Introiluction de la philosophie du droit, des tltudes de philosophie et des Etudes de littt’rature et d’art, et surtout de nombreux ouvrages do pédagogie : Leçons sommaires de psychologie, professées A l’école des institutrices do NIaarid (1874-1877) ; Etudes sur l’éducation (1886) ; Education et enseignement (1890). etc. Ginor a été le fondateur do Vinstitut iibre d’enseignement, et un des plus actifs rédacteurs du • Bulletin • publié par cet institut.

GiNESTAS {nè-stas), ch.-l. do cant. de l’Aude, arrond. et A 16 kiloin. do Narbonno, près du canal du Midi ot non loin do l’Aude : 1.197 hab. Commerce do vins. Egliso romane. — Lo canton a 15 comm. ot 15.730 hab.

GiNETA (La), ville d’Espagne (Murrie (prov. d’Albacètoj ) ; 3.800 hab. Industrie agricole ; fabrique do drap grossier.

GINGAS ijin-gha) n. m. Toile do chanvre commune, ordinairement à carreaux blancs ot bleus, servant ù la confection dos matelas et des chemises à l’usage des matelots, des nègres, etc. (Vx.) n On disait aussi citNGAR ot gingan.

GINGE { finj") n. f. Graine rougo. produite par lo chanvre gigantesque du Japon {abrus precatorius).

GINGEMBRE {Jin-janbr — du lat. zingiber, gr. siggiberis ) n. m. Genre de plantes monocotylédonos, type de la famille dos zingibéracées.

— Encvcl. Les gingembres sont des herbes vivacos, odorantes, à rhizomes épais, noueux, segmentés, dont les branches aériennes, stériles. portent des fouilles alternes, rectinerves, engainantes et ligulées. Les fleurs, réunies en un épi serré ot pédoncule au sommet d’uno tige sans feuilles , sont zygomorphes et vivement colorées : elles no renferment au’une étamino fertile, los uoux autres étant représentées par des siaminodos pi^taloïdcs, cohérents en un labcUo qui. par sa forme, rappelle celui des orchis. Le gingembre officinal l^zingiber officinale), originaire de l’Asie tropicale et cultivé dans tous les pays chauds, est l’espèce la plus connue. Son rnizomo renferme uno essence, une résine et une substance de saveur piquante (gingeral). C’est un stimulant aromatique, qu’on emploie surtout comme condiment ; on en prépare un sirop ot des couriluros. L’usage do cette épico confite est très ancien. Le gingembre apparaît commo friandise de dessert dès lo xii* siècle. Pendant le moyen iige, on distinguait deux sortes principales ; la plus estimée était le gingembre de La Mecque {gingembre Mesehe) , et le moins hn était lo beledi [benédit ou belladino), qui venait de Calicut.

OINGEOLE^7’iri-yo/’) n.f. Bot. Nom vulgaire do la jujube.

— Mur. Place de la boussole à la poupe d’une galère.

— Pop. Cadet la gingeole, Hommo grand ot maigre.

GlNGEOLlER(jïn-j’o-/i-^) n. m. Nomvulgairedu jujubier.

GINGEON [jin-jon) a. m. Nom vulgaire, dans corlainos parties do la France, du canard sifflour.

GINGER-BEER (djin’-iér’-bir’ — mot angl. signif. » bière de ginL'onibro >) n. m. Boisson gazeuse fortement aromatisée de gingembre ot de poivre.

OINGER-BREAD {djin’-jir’-bréd’ — mot angl. signif. • pain de gingembre >) n. m. Pain d’épice anglais, fait de mêlasse aromatisée avec du gingembre.

OINGIBRACCHIUH {jin-ji-bra-ki-om’ — du lat. gingiva, gencive, et bracchntm, bras) n. m. Pathol. anc. Nom du .scorbut, dont les principaux symptémcs alToctent los bras et les gencives.

GINGIBRINB (jin-ji) n. f. Nom donné, dans lo commerce, à la poudre do gingembre.

G1NGZN ( jin-jin ) n. m. Pop. n Ai’oi’r du gingin, Etre intelligent, Avoir do l’esprit.

OINGINER (jin-ji — rad. gingin) v. n. Pop. Faire des œillades : Elle ginuink à mon endroit. (Gavarni.)

GINGIVAL, ALE. AUX {jin-ji — du lat. gingiva, gencive) adj. t^iii appartient aux geucives : Muqueuse oimgivalk. ti On dit aussi ukncival.

GINGIVITE (^tn-yi — du lat. gingiva, gencive) n. f. In- (lammation des geucives.

— Encycl. I..a ginyicite est un dos symptômes, quobjuefois lo .s^mptùme dominant du plusieurs maladies do la bouche. Lastomatito érythémateuso est la plus fréquente do toutes ; los causes sont la dentition, la carie dentaire, la malpropreté de la t>ouche. l’abus du tabac, dos mets fpicés et aussi les catarrhes de l’estomac. Il faut encore noter la stomatite mercuriello, la stomatite ulcéro-mombrancuso. le muguet. Chez les diabétiques, on observe souvent une gingivite chronique, qui aboutit à l’ébranlement et & la chute des dents. Cootro la gingivite non ulcéreuse, faire & la brosse dos lavages fréquents do la bouche

Giogcmbrc : a. Heur.

Si 8

avec des solutions antiseptiques : eau boriquée ù 4 p. |oo, rliloralo do potasse à 4 p. 100, thymol à 1 p. loOou chloral & 1 p. 100 ; joindre au traitement local dos potions ou pastilles au chlorate de potasse. En ras do gingivite ulcéreuse, faire après los lavages un badigconnago avec uno solution concentrée do nitrate d’argent ou toucher los uU cérations avec lo crayon de nitrate d’argent. No pas oublier lo traitement dÔ la cause. V. stomatitb.

GINGKO n. m. Bot. V. ginkgo.

GINGKOINE n. f. Corps isomère do l’acido butyrique» fjuo luii irouvo dans les fruits du gingko ou giuktro.

GINGK03IQUE ( ;t^’) adj. Se dit d’un acide qui serait contenu dans lo péricarpe des fruits du gingko.

0INGLARD(7)n-/ ;far’) n. m. Arg. Petit vin acido et vert, GINGLYME f^’m — du gr. gigglumos, charnière) n. m. Anal. Articulation permettant des mouvements analogues à ceux d’une charnière.

— Encycl. I..es caractères des ginglymes sont très trancliés ; on trouve sur l’un dos os uno poulio ou trochléo ; sur l’os opposé, uno crôto correspondant à la gorge do la poulie et deux facettes correspondant aux parties latérales do la trochlée. Exemple : coude, genou. Le ginglyme parfait est celui où la flexion et l’extonsion seiiles existent : articulation du coude. Dans lo ginglyme imparfait, il y a, oulre rextcnsion ot la flexion, la possibilité d’un très léger mouvomont d’adduction et d’abduction : articulation du genou. On uommo ginglyme latéral celui où la rotation est lo seul mouvement qui soit possible : arliculatious altoido-axoïdienno ot radio-cubitalo supérieure.

GINGLYMOÏDAL, ALE, AUX (rad. ginqhfme) adj. Anat. So dit des articulations do la naturo du ginglymo.

GINGLTMOSTOME ou GINGLYMOSTOMA (jïn, sto) n. m. Genre de poissons plagiostomcs, famille dos scylliolamnidés, comprenant des requins allongés, à nageoires dorsales placées exactement au-dessus de l’analo et des

GinglymoBtome.

ventrales. (On connaît deux espèces de ginglymostomos : l’un© [ginglymostoma cirratum]^ propre aux mers do l’Amérique tropicale, l’autro [ginglymostoma concolor] à la mer Kougo et à l’océan Indien. Ce dernier, long de S mètres uuviron, est uniformément jaunâtre.

GINGOL {jin) n. m. Gros fusil cochinchinoîs quo l’on charge jusqu’à la guoulo de lingots de fer.

GINGOULE (jin) n. f. Bot. Un des noms vulgaires do la

girulo ou chanterelle.

GINGRINE {jin — du lat. gingrina ; gr. giggras, mémo sens) n. f. Petite

fliito phénicienne,

au son nasillard

et plaintif, dont Gingrioc.

on se servait dans

les fétos d’Adonis. 11 On dit aussi gingrie ou gingbas.

— Adjectiv. : l’iûte gingrine.

GlNGUENÉ(Picrro Louis), écrivain français, né àRonnes en 1748, mort à Paris on 1816. Etant allé à Paris on 1772, il cultiva la poésie erotique, écrivit des vers dans 1’ « Almanach des Muses » et des articles dans lo « Mercure do France >>. En 1779, il publia la Confession de Zulmé, graciouso pièce qui devint vite populaire. Il intervint, on 1780, dans la lutte des gluckistos et des piccinistes en /aveur de ces derniers. Il obtint, en 1780, un emploi au contrAlo

f général. II accueillit la Révoution avec enthousiasmo et publia, en 1791, uno brochure : ï)e l’autorité deJiabelais dans la Révolution présente et dans la Constitution civile du clergé , puis ses lettres sur /t’s Confessions de J.-J. Jiousseau. D’opinion modérée, il (ut emprisonné sous la Terreur. Directeur de la commission executive do l’instruction publique, membre do l’Institut ( classo des sciences morales ot politiques), il fut sept mois ministre plénipotentiaire du Directoire à Turin (1797). Elevé au tribunat en 1799, son libéralisme t’en fit exclure en 1802. Do 1802 à 1806, il fit à r.thénée un cours do littérature italtoonc. Membre de l’Académie des inscriptions, lo pouvornomont des Cent-Jours le chargea d’une mission en Sui&se. C’était un esprit fin et lettré. Son œuvre capitale est son Histoire littéraire de T/Za/ie (isi l-l8iy), continuée jusqu’au xvi" siècle par Krancesco Salli. Citons encore : Pomponin ou le Tuteur mystifie, opéra boutro(1777) : la Satire des satires {111$) ; téopoldl n$’J) ; Eloge de Louis XI l (1788) ; de AVcA-fr (1797) ; Notice sur Ptccini (1800) ; Coup d’œil rapide sur le Génio du Christianisme (1802) : Fables nouvelles [,$(}-%) des articles dans la « Décade philosophique >, qu’il avait fondée lo 10 floréal do l’an II.

GINGUER (jm-f^/ié — autre forme dooiGUEK) v. n. Sauter, fulàiror.

— T. rur. Huer, en parlant des animaux employés pour lo labour, des bétcs do sbmmo, etc.

— Pop. Ecarter les jambes.

— V. a. Arg. Mettre en prison.

GINGUET, ETTE ijin-ghè, gfiét’ — rad. ginguer) adj. Pop. .Se dit du vin (|ui est un peu aigro (il fait sauter celui qui eu boit) : Vni GiNGUiCT. Il Do pou de valeur :/’o&eGiNGt7i£TTK.

— Fig. Mesquin, de peu de valeur : f’n esprit ginguet.

— n. m. Vin aigrelet, suret : Boire du gingcet.

— Mar. Pieu mobile, avec lequel on arrête le cabestan, après qu îl a servi, n On dit aussi LiNotjBT.

GINILSITE (>i) n. f. Silicate hydraté naturel d’alumine, fer, magnésie ot chaux.

01ogueD4.