Page:Nouveau Larousse illustré, 1898, IV.djvu/880

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

ClR.vnDIiS - GIIIELLE

(H<*

o, etc., on lui doit un , ^iir d«w «ujflu do cir-

tiiu

"it.

’ ; l’Iinpuiêsance

>i) ; Ole.

îottrs-’s fr : c :ti’^*^. t’cmmr Hti prôct^’lrnt. tido À Aix-la-Cha-

, 1 . * di>tiuta SUU8 les

l^ la Must’ fran-

,110 pour un polit

i.iaitc (. u-viii7r ; cllo piililin

>kSiu|UOS : Maiielfine. Ounkii

. l’Hymne à sainte (ienei’i^vt^,

ri-, U Quête en faveur des Grecs 

irtei X. ()ui lui valut uno pension ;

.Mort tlu yt’nr^rat /-’uy, qui lui alli-

!es li- 

alor

ta M.

r^rooi les boraiu- (■ quon irou

7’

Mm de Girardin (Delphine G«>).

vers, ou on troui- nmn"’ -laus les A’tsut* et .Yout’cauj essais poétiques (I8ti-1^-2T>). se font reroarijuer par uno tUt^gani’o brillante et cla^^u)ue. Ko Ï8ï6-l’* ;7. rll.^ ri : tin voyage en l o’nnèe

au ( ’<a de

nou i^ues :

le Ht’tuur, )’aUrme, le Dernier Jour fie Pompéi, et surtout SiipoUne (1SJ3I, qui dénolo î’mfluenoe de Musset, etc. A la suite do son mariage avec Emile Je dira rdin, elle (écrivit dans les journaux des articles de cntique d’une malice vive et spirituelle : telles furent les Lettres paristennei, qui, sous le pseudonyme du viroMTR dk LaunaT, parurent do 1936 à 1S47 en fcaiUetons dans la • Presse •. Sos poésies furent désormais inspirées par la politique : Vt^pitre à la Chambre, la Oiatnhe contre te générât t’araignac. On lui doit des romans : le Lorgnon (1831) ’• /« Marquis de Pontanqes (1835) ; Contes d’une vieille fille à ses neveux {l$3i) : ta Canne de Af. de Ba/jac (1836) ; JUar-

Îfumte (1853,1 : // ne faut pat jouer avec la douleur (1855) ; a Croix de Bfmy (1846), en collaboration avec Méry, J. Sandoan et Th. Gautier ; et des œuvres dramatiques : CEcote des Journalistes (1840) ; Judith (1843) ; Ctéopdtre (1847) ; C’est la faute du mari (1851) ; Lady Tartufe (1853) ; Lajote fait peur (1854) : le Chapeau d’un horloger (1855). Douée do beaucoup d’esprit, sans 6trc dénuée d’une grâce mélancolique. M"* do Girardin fut traitée en roino par les plus grands écrivains de son temps.

Girardin , Marie- Alfred-Jules), littérateur français, né à Loches ;Indro-et-Loire) en 1832, mort à Paris en 1888. Professeur au lycée do Versailles. Girardin écrivit pour la jeunesse an ffrand nombre do livres remarquables par l’éfévatioD morale et le charme du style. Les principaux sont : Us Braves Gens (1873) ; l’Oncle Placide (1876) ; le Homan d’un cancre (I882i. Il a traduit Mycène», de Scnliomann ( 1^79) ; Endymion^ do Disraeli ; etc.

GiRARDON ; Francois sculpteur français, né à Troyes en Iti28, mort À Pans en 1715. Il était tils d’un fondoor do métaux qui le plaça d’abord chez un procureur, puis chez on menuisier sculpteur. Le chancelier Séguier le plaça d’aborj dans l’atelier de François Auguier, et l’envoya à Rome. A son retour, une pension do 1.000 écus lo fixa à, la cour, où son talent devait contribuer à l’embellissement de Versailles et de Trianon, sous la direction de I^bnio.

En l657,Girardon fut admis A l’Académlo de peinture et de sculpture ; deux ans plus tard, il fut nommé professeur. En 1069. il retourna à Rome, chargé par Colbert de diverses missions toDchant les beaux-arts. En 1690, il At hommage A sa ville natale du fraad médaillon on marre blanc représentant Louis XIV. On voit encore A Troy*»* plusieurs autres mor> s’jn ciseau,

not. ’-oraiions

do ■■ te la cba-

po :;

P.^ "luctions,

on ’ ■ Tom*"’i

con^ est

fani

lem

A

'>"■ , - - ,- .

du château ; le /^jur* A/ do la petite cour, figuré en Hercule au repos, uui vient d abattre un taureau et un lion,

autrement dits 1 f",,,^., ^. 1 r... VHirer du bassin

de Saturne ; /7. lans lo bouquet

do la colonnado .^-uros dispersées

/’ ? /tichelieu, A la Sorbonno, ro. i^a composition en ■ f*. place Vendâme, la XIV, qui décore actuel-

résentant let Victoires de la jToe la grille de l’avant-cour

dan

!.. 

roo géro mort flour :

.’^gante et nn pea banale, est

uredu mouvement et & la lé-

■■ ; js.^ Catherine Duchcmin.

I ’- ..r :ibloment les fruits et les

eimles et en particulier iup celte» du flfrry (U45) ; le» Artiste» de Bourges depuis U moyen âge Justju’à la Uévolutwn ^186r ; etc.

Girart devienne, chanson de geste française.— C’est

10 remaniement, composé, vers 1300, par un clore do Darsur-Aube, nommé Bertrand, d’une chaniton plus ancioniie dont lo sujet était analogue à celui du (iirart de Jtoussilton.

11 s’agit iri d’une lutte entre Girart de Vienne, tlls do Garni do Monlylaiie et Charlomagno. L’épisode principal est lo siège mis par Charlomagno devant vienne, où Garin résiste sept ans. llurunt co siét’e a lieu ce combat entre Olivier et Koland.un des plus beaux morceaux do l’épopée française, imité par V. Hugo dans le Mariage de Jivland,

Girart do Nevers ou Boman de la Violette, un dos romans d’aventures les idiis agréables du xiii* siècle, composé par Girbort do Monireuil, qui lo dédia à la comtesse Slarie do Poniliieu, vers 1225. — Liziart, comte de Forez, fait contre Girart, comte do iNovers, la gagouro do séduiro Kuriaut, amie do celui -ci. H échoue dans sa tentative, mais réussit à apercevoir Eurianl au bain et découvre sur sa cuisse un signe on forme do violette qu’il décrit à Girart. Celui-ci, convaincu de l’indignité de son amie, l’abandonne dans une forêt, puis, ayaut découvert son erreur, il se met à sa rochorcho, la retrouve et tinit par l’épouser. Co thème, d’origine probablomonl byzantine, aurait déjà. été traité au moyen ago ; il a souvent été repris depuis, notamment par 6ocoace(/>t*f(i»it*ron) et Shakspearo {Cymt /ehne). Ce roman a été publié on 1834, par F. Michel.

Girart de Roussillon, chanson do geste du xii« siècle, écrite dans un dialecte intermédiaire outre le français et lo provençal, probablement celui do la Bourgogne méridionale. — Elle raconte les cuerros interminables entre les deux familles do Thierry d’Ascano et do Girart de Roussillon ; mais lo roi de Franco, appelé ici Charlos-Martol (bien que l’auteur ait en vuo Charles le Chauve), ayant embrassé le parti de Thierry, la lutto paraît souvent engagée outre Girart et la royauté même. Les caractères (ceux dos femmes surtout) sont fermement tracés, les tableaux pleins do mouvement ; les épisodes do Girart et de Berthc. sa femme, gagnant leur vie, l’un comme charbonnier dans l’Ardenne, 1 autre comme couturière, lo récit de la bataillo do Valbeton étaient populaires au moyen âge. Co poémo olTro uno des peintures les plus dramatiques et les plu5 vraios de l’âge féodal. Le héros parait étro identique à un Girart qui fut, au ix" siècle, un dos plus puissants seigneurs do la Bourgogne, combattit les rois de Franco et fonda, vers 800, lo monastère de Vézelay.

OIRASOL {ii — du lat. girare, tourner, et sol, soleil ; do l’ital. girasote) n. m. Variété do quartz hyalin, à fond laiteux, d’où sortent des reflets bleus et rouges quand on lo fait tourner au soleil, ce qui lui donne un aspect d’opale.

— Fig. Par plaisant. Personne qui est toujours du côté du pouvoir, qui recherche sa faveur.

— Bot. Variété très estimée de riz do l’Inde. It Nom vulgaire de l’hélianthe annuel ou gr .nd soleil des jardins.

Il Variété du fruit du jaouior do 1 Inde. Il Girasol feuilleté, Petit agaric blanc, à cnapoau noir au sommet, avec do petites zones circulaires. (On écrit aussi gikasollb n. f.)

OIRATION {jif si-on) n. f. Mécan. Mouvement giratoire. Il On écrivait autref. gvration.

— Bot. Mouvement giratoire découvert dans les sucs des plantes, notamment dans celui d’une espèce du genre chara.

— Enctcl. Mécan. Bayon de giration. On nomme ainsi la racine carrée du quotient du moment d’inertie d’un corps solido, par rapport à l’axe auquel il est supposé fixé, par sa masse totale.

Si m désigne la masse d’un élément du corps et r sa distance à l’axe, le moment d’inertio du corps par rapport à l’axe est imr*, et le rayon do giration de ce même corps par rapport à ce même âxe est

•^=v/^-

GiRARDOT (Auguste-Théodore, baron db), administrateur et archéologue français, né & Pari^ nn l8l^. mort à Bourges en 18«3. Il remplit diver* ;- ■■ - s dans l’administration préfectorale, et a la ; .in nombre de bonnes monoi^raphics sur la vil> , s et sur le Bcrri. Citons notamment : Lttai sur les tusanùlées provin-

M désignant la masse totale.

OIRATOIRi : {ji - du lat. girare ou gyrare, tourner) adj. Se dit, en mécaniqiie, d’un mouvement circulaire : JUouvement giratoire, ti On écrivait autrefois gtratoire.

GlRAUD (Jean-Baptiste), statuaire français, né à Aix en 1752, mort à Nangis,on 1830. Pendant un séjour de huit années on Italie, il dépensa plus de 200.000 francs à faire mouler en pl&tre les plus beaux morceaux do sculpture antique, uu il mit à la disposition des artistes parisiens. Il a pou sculpté. On peut, copondanC, citer de lui : un Mercure, un Hrrcidc, un Achille mourant, qui lui valut son entrée à 1 Académie on 1889 (musée d’Aix) ; un Baigneur endormi, faune et un Holdat laboureur on ciro.

GiRAUD (le comte Jean), autour comique italien, né à I iiH’ on 1776, d’une famille française, mort & Naplos en IHJ4. Il fit représenter sa première pièce, L’onesta non si finee.àHomcon 1798, leva, à cette époque, un escadron de cavalerie pour la défense de Pie VI contre les Français, devint directeur do tous les thé&tres du royaume d’Italie on 1813, perdit cette place en 1815. et se ruina dans dos spéculations. Ses comédies rappellent celles de Goldoni. avec plus do gaieté, mais moins de vérité de sty^le. La meilleure CHtle Précepteur dans Temôrtn-a* M807), critique spirituelle dune éducation trop sévère. Il est aussi l’auteur d’un recueil de comédies enfantines : Teatro domestico.

GiRAUD (Pierre), prélat français, né à Clermont-Ferrand. en 1791, mon àCambrai on IS50. Directeur de l’œuvre des Petits Savoyards, il prêcha plusieurs missions en Auvergne et le carême aux Tuileries (1825), fut curé de la cathédrale et vicaire général de Clermont. Evéqiie do Rodez, puis archevêque de Cambrai, cardinal en 1847, il fut envoyé à Qaèto auprès du pane Pio IX, pour l’inviter à se réfugier 00 France. Ses (Èuvres ont été publiées on 1846.

GlRAUD (Charles-Joseph-6arthélemv jurisconsulte et homme d’Ktat français, né à Pernes (Vaucluso) en 1802, mort & Parts on 1881. Professeur suppléant ik la faculté de droit d’Aix (1830), il devint membre do l’Académie des sciences morales et politiques ( 1842), puis vico-recteur do l’académie do Paris. Deux fuis ministre do l’instruction publi )ue, puis conseiller d’Ktat, il fut révoqué, en août 1852. pour n’avoir pas soutenu le projet de loi sur la contiscaiioD des bicoa do la famille d’Orléans. La mémo année,

8 ;î2

Il devint professeur de droit romain & la faculté do Paris, puis, en 1861, inspecteur général pour l’enseicnement du droit. Parmi ses ouvrages, citons : Histoire du droit romain (18411 ; Becherches sur le droit de propriété chez tes Homaint (,1838) ; Essai sur l’histoire du droit français au moyen Age (I84S) : Dissertation sur la gentUtté romaine (1847) ; la Lex mnlacitana (1869) ; les Brunzesd’Osunaililb) ; Des libertés de l’Eglise j7a/iïr(ine(1847) ; JS’ i non de Le nclos {l^GC) ; la Marechale de Vtltars et son temps (1881) ; etc.

GlRAUD (Pierro-François-Kugène), peintre et graveur français, né et mort  Paris (1806-1881). Prix do Homo (^1826), il vovagea on Kspagno et on Orient, puis donna la Posada des Toreros et lo Fandango. Le Coup de vent et l’/ncendie à Constantinoplc {l»^Z). Il a exécuté do nombreux portraits : celui du ôaron Afouiiicr, dV/ero/rf, do Jules Janin, do la princesse Mathilde, du prince Jérôme, etc. Citons, parmi ses tableaux : Henri IV dans la tour Saint-GermaindtsPrés et un Débordement du Nil (I861 et 1863) ; une Nuit parisienne ; la Sortie des vêpres (1868) ; la Confession avant le combat (1870) ; Départ pour l’armée de Condé, Al Kief (1874) ; le Marché aux fleurs sous le Directoire (1876) ; la Salle de» pas perdus {%n) ; otc.Giraud avait un talent satirique qui s’est révélé dans uno jolie série d’aquarollos, exposées après samortàl’Exitosition de la caricature, en 1888. — Son nls. Victor Giraud, élôvo de Picot et de Cabanol, promotlail un artiste, quand il fut enlevé, à l’&go do trente et un ans (1840-1871), pendant lo siège do Paris. Il avait été récompensé aux Salons do 1867. 1868, et 1870. Citons de lui, le Marchand d’esclaves (Louvre). V. esclave.

GlRAUD (Joscph-Constant-Victor), explorateur français, né on 1858. mort à Cherbourg en 1898. Enseigne de vaisseau, it accomplit on 1883 et 1884, un vovago intéressant et fructueux on Afrique, au cours duquel il explora le lac Dangouoolo ot les pays voisins. Il en a publié la rela* lion : les Lacs de l’Afngùe éqnatorialc (1889).

GiRAUD-TEULON (Marc-Antoino-Louis-Félix), médecin français, né à La Kochollo en 1816, mort à Saint-Germain-on-Layo en 1887. Il fut d’abord élève de l’Ecole poiytechniauo. "passa son doctorat en médecine en 1848, et exerça quelque temps les fonctions de préfet des Hautes-Alpes, n a laissé un certaiu nombre d’études intéressantes sur le mécanisme do la vision.

GiRAULT de Saint-Fardeau (Eusèbe). littérateur français, né à Saint-Fargeau(onno)cn 1799, mort en 1855. Il a publié un assez grand nombre d’ouvrages géographiques ot littéraires ; les principaux sont : Dictionnaire de la géographie physique et politique de la France {IS29) i Dictionnaire de toutes les communes {S2S) ; Guide pittoresque du voyageur en France (1834) ; Bibliographie de la France (1845) ; Dictionnaire des artistes {lUG) {Dictionnaire géographique. .. de toutes les communes de V’^rancc (1846-1847) ; le» Beautés de la France (1850) ; etc.

GiRAULT-DUVrviER (Charlos-Piorro), grammairien, né à Paris en 17G5, mort on 183’2. U se fît recevoir avocat avant la Révolution, et entra plus tard comme associé dans uno maison de banquo. Il est surtout connu comme l’auteur do la Grammaire des grammaires (1811), analyse fort bien faite do tous les travaux des grammairiens antérieurs, mais où l’auteur donne la préférence A la méthode do Port-Royal, et se montre soumis aux décisions académiques. On a encore de Girault-Duvivier : Traité des participes (1814) ; Encyclopédie élémentaire de l’antiquité [MZd).

GIRAUMONT OU GIRAUMON {jirô-mon — orig. inconn.) n. m. liot. Nom vulgaire d’une variété de courge des Antilles. 11 Fruit comestible de la mémo plante, remarquable par son écorco panachée de vert ou do blanc et par sa chair épaisse, ferme, sucrée, jauno orangé. (Elle no doit

fias être confondue avec sa concurrente, très médiocre, a courge de Barbarie ou girnumoji à bandes.)

— Mar. Navire de forme lourde ot arrondie, très mauvais marcheur.

Girbert de Metz, troisième branche do la chanson des Lorrains. (V. Garin le Lorrain.) — Los Lorrains y prennent leur revanche de la mort do Garin et do Bégon, assassinés par les Bordelais ; Girbert, fils do Garin, fait boire Fromondin dans lo crâne do son pôro, monté on hanap ; Fromondin fuit en Espagne, travesti en ermite, il reçoit la confession do Girbert et de son cousin Gérin ot s’apprôto, on puise d’absolution, à leur passer un couteau à travers lo corps ; mais ceux-ci lo préviennent 01 retendent mort sur la place. Cette chanson encore inédite, est UDO des plus sombres et dos plus pathétiques du cycle, elle est anonyme et date du début du xiii* siècle.

GIRELLE {ji-rèl’) n. f. Ichtyol. Genre do poissons acanthoptères, famille des labridés, tribu des jutidinés, comprenant do jolis poissons oblongs, comprimés, de couleurs vivos cl brillantes, qui abondent dans les mers chaudes et se plaisent dans los hauts fonds do coraux.

— Archéol. Housse du cheval de guerre, surtout partie de la housse qui couvrait l’arrièro-main et qui remplaça, au milieu du xvi* siècle, la barde do croupe. (Celle expression était encore en usage au xvm’ s.)

Il Tour ou manivelle servant à tendre les arbalètes dites « à tour ■. (Expression du xv* s.) V. ARnALfrrK.

— Tcchnol. Partie supérieure do l’arbre do la roue de potier, sur- Girclle. montée d’un petit plateau horizontal

sur letjuel l’ouvrier place l’argile plastique destinée A la confection d’un vase, d’un pot, etc.

— Kncycl. Ichtyol. Ixisgirellcs (nom scientif. ^u/m) comptent do très nombreuses espèces ; trois seulement habitent les côtes méridionalos do la France : la gircllo donzollo (Julis vulgari >), longue de 15 à 2 :. centimètres, bleu variée d’orange ot de rouge, do vert et de violet :

c’ostlo)>lus joli poisson Girclle.

des mers européennes ;

commun en Mcditerranéo, il est très rare dans l’Océan ; la juiis Gofredi en est très voisine : comme la girclle paoa {julis pavo)^ elle est do la Mcditerranéo.