Page:Nouveau Larousse illustré, 1898, IV.djvu/881

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

853

OIRER iji) V. 3. Chan^^’cr la direction dans la routo d’un navire : tiiKKit les prunes. (Vieux.)

GiREY-DUPRÉ I Joseph-Mario), publicisto, n6 et mort & Paris (1 "69- i7yjj. Il accueillit avec oothousiastne les ï’iùcn do la KévoiutioD, et fut uuinmé sous-garde dos maouscrits à la Bibliothèque du roi. Devenu Pami des Girondins, il collabora au <• Parrioto français ». Déposa dans lo procès do Marat, fut d6nonc(i pour avoir aétournô ■ les citoyens du dovoir qui les appelle au secours des départements dévastés par la guerre civile > et proscrit comme fédéraliste, puis condamné A mort. La veille do l’exécution, il avait composé avec Bois-Guyoa l’hymne célèbre : « Voilions au salut do l’empire I ■>.

GiRGÈH ou Ghirgeh, ou GergA. ville d’Egypte (Haute-Kgypto), sur le Nii ; 17.271 hab. Elle so développa que sous la domination arabe, après la ruiuo do Thinis, et atteignit sa plus grande nrospérlté du xii* au xv« siècle. Capitale d’une des moudinôtis do la Haute- Egypte, elle fut dégradée à. cause do sa turbulence. Aujourd’hui, petite ville animée et llorissanto, avec quatre belles mosquées, une église catliulH|uo et un couvent latin.

GlRGENTI, ville de Sicile, ch.-l. do prov., à 9 kilom. do la Méditerranéo. sur les ûaucs do la montagne couronnée autrefois par Agrigonto et au-dessus de la rivière de Girgenti ; 21.274 hab. Evéchô. C’est une ville morte : sauf une rue, â pou près propre, elle n’est formée que de ruelles tortueuses, étroites, bouousos. Cathédrale, fonts baptismaux formés d’un sarcophage antique. Ni industrie, ni commerce, sauf dans lo port do Porto-Empedocle, nui exporte le soufre dos environs. — La provinoea 3.035 (cilom. carr. et environ 345.600 hab. Elleest assez foniieen fruits des régions méditerranéennes et produit du soufre en graudequantité. — Locircondarioa22coram.et206.3i5hab.

GIRIEiyV-ri — orig. inconn.) n. f. Pop. Plainte affectée, hypocrite ou sans sujet, il Par ext. Manières affectées.

GiRiPALGO, comm. d’Italie (Calabro [prov. de Catanzarojj ; 4.539 hab.

OIRINE {^i) n. m. Violon chinois, employé aussi par les ménestrels japonais. (Il se compose d’une caisse harmonique , formée Sarun cylinre en sycomore ou OQ bambou, recouvert d’un côté d’une Girlne-

peau do serpent. Cette caisse est traversée par un manche rond en bois, au bout duquel sont fixées deux grandes chevilles servant à accorder deux cordes en soie. On en joue avec un archet très souple en bambou.)

GIRO (, ;’() n. m. Cépage do Sardaigne, qui fournit d’excellent vin plein de tinesse et de feu, et des raisins de table. Il Vin produit par ce cépage : Boire du giro.

GiROD de l’Ain (Jean-Louis), homme politique français, né à Gox (Ain) en 1753, mort à Vorsoix (Suisse) en 1839. Maire do Gex depuis 1780, il devint, en 1791, président du tribunal de Nanlua, et lut incarcéré pendant fa Terreur. Il lit partie du conseil des Anciens (1795), de celui des Cinq-Cents (1799), et, après le 18-Brumairo, du Corps législatif. Napoléon le nomma conseiller à la Cour dos comptes (1807), ot baron (1809). Député do l’Ain on 1818, il se retira de la vie pohtique en 1820.

GiROD de l*Ain ( Louis-Gaspard-Amédée, baron ), homme d’Eiat, fils du précédent, né à Gex en 1781, mort en 1847. Avocat général à la cour de Paris, sous l’Empire, puis, pendant les Cent-Jours, président du tribunal do la Seine et député ; exclu de la magistrature en 1815, il défendit dev ;int lo conseil de guerre lo général Drouot. Conseiller à la cour de Paris en 1819, député d’Indre-et-Loire en 1827, il vota l’adresse des 221, et prit part à la révolution de 1830. Il devint ensuite préfet de police (aoûi-Dov. 1830). président do la Chambre des députés { 1 83 1 ministre do l’instruction publique et des cultes (1832), pair de France, président du conseil d’Etat (1832), garde dos sceaux (1839). Son rapport sur l’insurrection do 1834, lui avait attiré la haine du parti républicain.

GiROD (Jeau-Marie-Folix), général français, né à Gex, fAi» ! en 1789, mort on lK7r 11 lit les guerres do rEmpina partir do 1806, et devint colonel en 1830. Député dr Nantua (1833- 18 12), maréchal do camp en 18-i’J, il commanda le départonient du Jura, de 18t3 ù 1848. On a do lui : Dix ans de mes souveitws militaires ï873).

GiRODET-TRiOSON (. ne-Louis Girodbt de Rot’ssT, dit), peintre français, né à Mootargis en 1767, mort à Paris on 1824. Prix de Komo en 1789, avec lo tableau do JosepU vendu par ses frères , qui rappelle la manière «le son maître David, il révéla biontùt son originalité par lo tableau du Sommeil d’KtiUi/mion (Louvre), qui eut un grand succès.

Obligé do quitter Rome à la Kévolution,Girodet.’-.e n-ndit ù Napl(>s, puis ù Gènes. De retour en France, il obtint un logement au Louvre. Il pei-

fnit alors une /htnaè, pour hôtel do Gandin , puis les Qutilre saisont , pour le roi d’Eî>pai ;no. La poésie ossia-Diijuo l’enthousiasma. Do lùk uuo série do compositions exécuti’es plus tard pour la Malmaison. En altctulaut, il donna un Fiuijat au mitieu de ses descendants, commautté par Bonaparte, et quatre ans plus tard sa Scène du dêhiife (1806).

Un roman do Chateaubriand lui fournit bientôt lo sujet doV/nhumalimi d’Alula. En 1808, il exposa Vt^tnpereur au moment d’tnlrer dans Vienne, ot, en 1810, ta Hévolte du Cuire. Do isio à 1819, sa santé étant gravement altérée, il se contenta de faire quelques dessins et une jolie Tête de vierge,. En 1815, il fut élu membre do l’Académie des beaux -arts. En 1819, il reparut au Salon avec ud Pygmalion et Galatée.

GIREU

GIROiNDE

Girodct-TriosoQ.

Depuis cotte époque jusqu’à sa mort, il no fit qao dos portraits, notammcut ceux do Cathelineau, de lionchamp, do Merlin de Douai, etc. Dans ses Œuvres poithumes, publiées on 1829 par Coupin, on trouve un poème : le Peintre, en six chants, a.ssez faible, des traductions do poètes grecs ot latins, qui sentent trop l’effort, etc. Artiste hybride, romantique ot davidien à fa fois, il s’est consumé aaos un essai do conciliation qui a desséché son talent.

GIROFLE (71) adj. Arg. Beau, gracieux, gentil.

GIROFLE {ji — du lat. car uophy lion, gr. karuophullon) n. m. Epice ayant la forme d’un clou à tête. {Le clou de yirufle est le bouton floral du giroflier ; les griffes de girofle sont les pédoncules, et les mères de girofle sont les fruits.) V. GiROFLiiiR. Il On dit aussi gbroklr.

— Encycl. I^ meilleur girofle employé pour les assaisonnements est celui des ^loluquos, ou girofle anglais. Il sert à relever la saveur du pot-au-feu ot d’un grand nombre de ragoûts, ceux surtout faits à la braisière. On l’associe à la cannelle, pour aromatiser les fruits Àl’eau-dc-vie.

GIROFLE (71) n. m. Matière colorante artificielle du groupe azinique. qu’on obtient on traitant la xylidine an commerce par la chlorhydrate de nitrosodiraéthylamiiine.

Girofle Girofla, opérette bouffe en trois actes, paroles do Loiorrier et Vanloo, musique do Ch. Lccocq, représentée à Bruxelles , sur lo théâtre des Fantaisies -Parisiennes, le 21 mars 1874, et A Paris, sur celui do la Renaissance, le 11 novembre de la môme année. I^ donnée de la pièce repose sur les aventures singulières et un peu embrouillées de deux sœurs jumelles, lilles d’un noble Espagnol, dont l’une a nom Girofle et l’autre Girofla. La musique est aimable, gentiment écrite, pleine de gaieté ot d’entrain.

GIROFLÉE iji) D. f. Genre de plantes, de la famille des crucifères. Il Giroflée d’eau, Nom vulgaire de l’hottoino des marais, n Giroflée des dames,’ Nom populaire do la Julienne.

— Pop. Giroflée à cinq feuilles ou simplem. Giroflée, Soufflet laissant ta marque des cinq doigts sur la joue, Gïvofii^.

— Encycl. Les giroflées ou

violiors (cheiranthus) sont des plantes herbacées, annuelles ou bisannuelles, parfois vivaces et sous-frutescentes, à feuilles alternes et simples, à fleurs ordinairement jaunes ou pourpres, réunies en grappes lâches et terminales. On en connaît une douzaine d’espèces, des régions tempérées ; la plus connue est la giroflée jaune [cheiranthus cheiri), dont les nombreuses variétés se prêtent admirablement à la culture ornementale en pleine terre ou en pots. On donne aussi le nom de giroflées aux matthioies {matthiola^,

r

dont l’espèce la plus connue est la quarantaine (matthiola annua), à feuilles tomontouses et fleurissant quarante jours après le semis.

GIROFLÉE (ji) adi. f. Usité seulement aans l’expression Cannelle giroflée, Ecorco de giroflier qu’on emploie aux mêmes usages que la cannelle proprement dite.

GIROFLIER iji, fli-é) n. m. Espèce du genre cugénier, de la famille des myrtacées.

— ÉNcYcL.Lo^ij’o/Zter ( eugenia aromatica ou caryophyllus aroniaticus) est un arbre tropical à fouilles opposées et persistantes, originaire des Moluques. Les <|uatro pétales de la fleur recouvrent les nombreuses élaminos dans lo bouton (|u’on appelle don de girofle ; on en retire l’essenco de girofle, qui se compose d’un hydrocarbure et d’eiigènol, acide salicylique, caryophylïine ; les clous de girofle sont stimulants, aromatiques, antiseptiques.

GiROLAMO, nom conservé par les Milanais au masque do la farce milanaise et piémontaise, que les Piémontais ont débaptisé en 1802, pour lui donner le nom do Gianduja.

GIROLE OU GIROLLE ()’i) n. m. Ornith. Nom vulgaire d’une espèce d’alouette, dans le Midi.

— Bot. Nom vulgaire du chorvi. n Nom vulgaire des chanterelles, dos ceps et do plusieurs autres champignons.

V. CUANTKRia.LE.

GiROLINE (ji) n. f. Nom donné, par les fabricants do I>;i>s(iii.-ni<.’ne. ù une sorte d’orncmout en cordonnet pour l’hltMiix, ayant la forme d’une crête.

GiROMAGNY. ch.-I. de cant. du Territoire do Belfort. à 13 kiloni. do lîi’lfort, sur la Savoureuse, i l’issue d’une pittoresque vallrc (pie suit la route du lialton (de Giromagny à Saint-Maurice ot Bussang par lo col du Ballon d’Alsâre) ; 3497 hab. (GiromagmenSj ettnes.) Mines, jadis exploitées, ou partie de cuivre, d argent, do plomb.de zinc, do cobalt, etc. ; scieries mécaniques ; fabrique de produits chimiques dérivés du bois, et surtout fllatures et tissages do coton très importants. Fort d’arrêt, surveillant la route du Ballon. — Le canton a 19comm. ot N.980 hab.

GIRON {ji — du haut allom. gero, pan coupé en biais) n. m. Par ext. Pan do vêtement qui v.a do la coiniuro au genou. (Vieux.’ ri Partie du corps qui s’étend de la ceinture au genou, chez une personne assise.

— Fig. Lo som, lo milieu.

Giroflier : a, bouton

GlroD [xv* ».] (&rch«ol.).

— Archéol. Toit en étotTe d’une tente, en forme de baldaquin conique. (Ceiio expression, très ancienne, date da XII* s.) Il Division lobée d’une coupe appelée aussi cornette. (On disait un gobelet à giron*. {V. ooriKT.])

— Archtt. Partie horizontale d une marche d’esc&licr. II Gïron droit. Surface rectangulaire d’une marche.

— Blas. Triangle régulier, qui a pour cAlé la demî-lar-

f ;eur do l’écu, et dont le sommet occupe contre de l’écu. u Chacune dos divisions du gironné.

— ■ Mar. Syn. de uancqb D*Avraor<. n Enveloppe d’une manivelle de treuil. Giron (Jcan-.A.ntoine-Aimé), poète ot littérateur français, né au Puy en 1838. Avocat, il a collaboré â diverses revues et publié un grand nombre do récits, do romans ot de nouvelles. Parmi ses écrits en vers, nous citerons : les Amours étrange* (1864) ; te* Petits-fil* de* douze César* (1874) ; Héveries et souvenirs (l»95. Parmi ses livres en proses : le Sabot de Ao^/ (1803) : Mystérieuse* (186 :») ; la Maison de Nazareth {ï$~3) ; la Maison gui pleure (1878) ; les Cinq sous d’Isaac Laquedcm (188Î) ; tiutoirt d’un petit mousse fI88Cl ; Braconnette (1890) ; l’Oasis de Fleuerff (1893) ; Contes à nos petits roij(189S) ; Us Cinq vertus de tante Zabeth (1897) ; le Vieux Itamasseur de pierres (l&Oi) ; etc. Il devint rédacteur 00 chef de la » France illustrée ».

D’argeat&u cir^’O mouvaut du ûauc dexire, en chef,

d’iLzur.

GironJe im* •.).

GIROND iji-ron), ONDE adj. Arg. Lieau, gentil, mignon.

GIRONDE (ji — rad. ^iron) n. f. Modillon, joyau en forme de médaillon, comme une broche. (Expression du xvii* s.)

Gironde, estuaire do la Garonne, après son confluent avec la Dordogoe au bec d’Âmbès. V. Garonne.

Gironde (département de la), formé d’une partie de la Guyenne (Bordelais. Bazadais, Périgord, Agenaisi. Il tire son nom de l’estuaire de la Garonno. Il est borné au N. par la Charente-Inférieure, à TE. par la Dordogne et le Lot-et-Garonne, au S. par les Landes, et à 10. par l’Atlantique. Superf. 10.487 kilom. carrés. Il comprend 6 arrond. ( Bordeaux, ch.-l., Bazas, Blaye, La Réole, Lesparre, Liboume), 49 cantons, 554 comm. ot 809.902 hab. [Girondin*, ines.) U fait partie du 18’ corps d’armée, de la 10* inspection des ponts et chaussées, de la 29* conservation des forêts de l’arrondissement minéralogique de Bordeaux. U ressortit à la Cour d’appel, A l’Académie et à l’archevêché do Bordeaux.

La presque totalité du département appartient aux formations tertiaires et quaternaires. A l’E., la région girondine est entrecoupée de vallons et de collines de laible altitude ; à 10., la région landaise, plaine de sable, repose sur une couche très imperméable d’alios ^sorte de grès ferrugineux ], séparée de la mer par une rangée do dunes. Une zone de graviers d’alluvion bordo la rive gauche de la Garonno en amont de Bordeaux et s’élargit vers l’embouchure du fleuve, dans lo Médoc. Des terres marécageuses, où la tourbe se trouve presque toujours, se rencontrent sur quelques points (marais de Samt-Ciers-Lalande. et Flandre au Médoc, tout au N. du département, sur la rivo gauche de l’estuaire de la GirondeV

Le département est arrosé par la Garonne et la Dordogne qui, réunies au bec d’Ambès, forment l’estuaire de ta Gironde , encombré, depuis le confluent des deux rivières, par un chapelet à peu près continu d’Iles et de bancs de sable (îles do Cazeau, île du Nord, île de Pâtiras. Ile Saint-Louis]. I-a Garonne et la Gironde reçoivent le Dropt (rive droite), la Beuvo, le Ciron , le Guâ-Mort, l’Eau-Blanche et les nombreuses jn/Ze* du Médoc (rive gauche ; vers la Dordogoe s’écoulent la Lidoire, l’Isle grossie de la Dronno, du Lary et de la Saye, le Moron (rive droite, l’Engranne et loGestas (rive gauche). Un canal latéral remonte la rive gaucho de la Garonne, à partir de Castets. Derrière les dunes, se trouvent les étants d Ilourtins et de Carcans, de Lacanau, réunis par des canaux de jonction, le bassin d’Arcachoo où débouche lo Leyre et l’étang de Cazau. Climat tempéré ; les neiges sont assea rares, mais les journées de brouillard et de pluie fort nombreuses, surtout dans la zono littorale, par vents d’O. et N.-O. ; orages fréquents en été.

La Gironde est un département surtout agricole. Ia principale richesse est celle de la vigne. Le vignoble est divisé, suivant Texposiiion et la nature du sol, en côtes, graves et palus, et les principales régions viticoles sont : le Médoc. les Graves, les Sauternes, le Bazadais, lEniredeux-Mors, le Blayais, le Buurgeais. etc. iV. BORDt.rx.) Le département produit aussi du blé, de l’avoine, do mais, du seigle, du millet, du sorgho, du tabac, beaucoup do légumes (pois, asperges, artichauts) et de beaux fruits (liK'>*’s. pèches, amandes, etc.). I^s prairies naturelles et artitiv’ielles sont très nombreuses ; on y élève beaucoup de bétail (races garonnaise et bazadaise). La région landaise est couvert© de vastes forêts de pins, de cbènes et do chénes-liègos . dont les plus considérables sont celles do la TeMo et d’Arcachon. Pas do mines : mais seulement de belles carrières de pierre A bàiir iBoiirg. Frontenac. Saint-Macairei, de la pierre a cliuux. de l’argile et du sable.

Les industries les plus actives du département se rattachent à la culture de la vigne (tonnelleries, verrcri»*s, fabriques de bouchons : et du pm (préparation des niaiicre^ rébinoiises ; fabriques do papier do bois, scieries). Ou peut citer encore quelques forgos et fonderies, des chantiers et ateliers de construction, particulièrement aux environs de Bordeaux et à Lormont, des fabriques d’engrais chimiques, de tuiles, do briques, do poteries, des raflineries do pt’trolo, des tanneries, des huileries, des minoteries, des sécheries do morues, des fabriques de conserves alimentaires, quelques marais salants, etc. A signaler aussi les pêcheries et I élevage des huîtres, dans lo bassin d’Arcachon. aux environs de la Teste et do Pauillac. Enfin, des sources minérales se trouvent à Casielnaude-Médoc, Cestas source ferrugineuse), Saint-Féiix-de-Fon’-aude, et Saucats.

Celte production agricolo et industrielle douïe lieu à