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OâiiT : a, Ilour mftle ; ù, (leur femelle.

OSIER — OSMIUM

OSICR { :i-é — orig. inconn.) n. m. Bot. Rameau joune et floxiblo do saule, on oncoro Saule otfrant de semblables rameaux.

I^ar oxt .loi, scion d’osier ; Un panicf «osier.

— Poétitj. Panier, corbeille, ustensile d’osier :

J’ai tien lliita do laitage Qu’iino iiiuin itrévoyaule «-’paittait danï Voshr.

TlSSOT.

— Loc. fam. Osiet’ de cour. Courtisan plein de souplesse. 11 /’^trc pliant, souple comme de l’osiej ; Avoir Icsnnt sou[do et accomnioilant. ii A’/re franc comme l’osier, Etre sincère, sans iliïssimulation,

Sar comparaison avec les tiges "osii^r, qui n’ont pas do nreuds.

— Arboric. Tûli^ d’oaier. Fornio d’un arbre dont on a abattu toutes les brancbos et ù *iui on luisso pousser soulenionl dos tlt ;oa minces.

— Kniyci,. Hot. L’osier ont omplovi ^ pour lairo les liens utilis(>s i)ar les vi^uorons, los tonufliors, les horticulteurs ; il constiiuo aussi la matière première do la vannerie. Los espèces de saules les plus estini<>es pour cet objet sont to saule des vanniers, osior blanc ou osier vert {snli.r. viminalis), lo sanlo pourpre ou osier rouge {salix purpurea), et aussi, mais accessoirement, lo saulo fragile {aalix fraffilis) et le saulo blanc (salix ntba ). Les saules sont cultivés en grand pour la vannerio dans dos oseraies. V. co mot.

OSXLO (lat. Triccnum), bourg d’Italie (Sardaigno [prov. de Sassari]) ; 5.375 hab. Ruines d’un cbâteau fort.

OsiMA, prov. du Japon {île d’Yéso [ken do Hakodatéj), sur lo détroit de Tsougar ; 98.000 hab. Ch.-l. Hakodatt’. Commerce do poisson et do riz ; constructions navales.

OsiMO {VAuJcimum des anc), ville d’Italie (Marches fprov. d’Ancûne] !. près duMusone ; 17.307 hab. Industrie île la soie. Cette ville a conservé sa vieille cnccinto ; dans

10 Palazzo Publico, est un musée d’antiquités romaines. Curieuse catbédralo,

OSXNSKI , Louis), poète et orateur polonais, né à Lock, dans la Pudiacbie, on 1775. mort à arsovie en 1838. Il publia, de 18ui à I8iH. do belles traductions dos tragédies de Corneille. Lors do la création du grand-duché de Varsovie, il so signala comme orateur en défendant et en sauvant lo colonel Demianowski. A la mort de son beau-frère Moguslowski, Osinski lo remplai ;a comme directeur de théâtre do Varsovie. Il enseigna la littérature générale à l’université de Varsovie, et fut membre du conseil d’Etat pour le département do l’instruction publique.

OsiO (Félix), littérateur italien, né à Milan en 1587, niui-t à Padouo en 1631. A ving-doux ans, il passa son doctorat, puis entra dans les ordres et professa les humanités à Milan et ù liorgame, la rhétorique à Padouo (I62i).

11 avait conçu lo projet de publier les documents de l’histoire do l’Italie au moyen âge et réuni un grand nombre do matériaux, lorsqu’il mourut do la peste. On a publié SCS A’o^’.v sur histoire de Mussato (1630) ; sur la Chronii/iie de Lodi, do Morona ( ir.39) ; sur les Historiens de la Marche Trévisane, dans la collection do Mnratori.

OSIRIAQUC {ri’Uk’) n. m. Adorateur d’Osiris. (Inus.)

OSIRIEN, ENNE { ;•/-/«, en’) adj. Mythol. égypt. Qui se so rappuito à. Osiris : Statue osiriknne. (Th. Gaut.)

OSIRIS, forme grecque du nom Osiri, que les Egyptiens dunnaient à l’un de leurs dieux principaux. La forme première scniblo en avoir été Sairi-Siri.

Osiris parait avoir été, à l’origine, le dieu local de plusieurs cités égyptiennes situées à l’orient du Delta, entre la branche Sébonnytique et la branche Pélusiaque du Nil. 11 était alors un diou Nil, en oppositiou avec lo dieu Set-Typhon, qui représentait le désert, la roche inféconde. Une légende s’établit, dès une époque très antérieure à l’histoire, cl’aprôs laquelle Osiris et Isis d’un côté. Typhon et sa femmo Nephihys do l’autre, étaient quatre frères ot s.eurs nés de l’nnion do Sibou. le dieutorre. avec Nouit, la déesse-ciel. Osiris, lils du ci» !l et do la terre, aurait donc été lo

Sroniior dieu qui apparut après la création u monde ot, sinon le premier homme, du moins lo premier dieu qui tint do la nature humaine ot lo premier qui régna sur les hommes. Il adoucit leur barbarie par sa bont6 qu’exprime ce nom d’Ounnolîr-Ouno phris, sous lequel il était connu en tant

a ne roi d’Egypte, leur enseigna la culture u blé et do ta vigne, instiiua lo culte et les rils des difréronts dieux, bfitit la plupart dos villes du pays et Thèbes elle-même. Lorsqu’il eut achevé son œuvre, Typhon, violent ot cruel, conspira contre lui, et lo jeta au Ml. puis régna ^u^ I Kgvpte en sa

S lace. D’après une antre iraditioii. il aurait dépecé lo caavro d’Osiris ot en aurait jeté les lambeaux au fleuve, oii les poissons los auraient respectés, à l’rxixption do l’oxyrynqno. Isis chercha les morceaux, les rassembla,

Suis, aidéo d’Anuliis, de Thot et de sa s«-Mir Nephthys et e son Mis lïorus, elle aurait inventé et pratiqué sur ces débris des rits (pii recousliluôront le corps, et lui permirent d’aller jonir d’une existence nouvelle dans les champs dlalou. Osiris devint donc par lA lo premier des morts qui, ayant <]nitté la vie. la retrouva dans l’autre monde ot réussit ù la perpétuer indéfiniment ; ses ndèles subissaient le mémo traitement qu’il avait snbi, et, devenus Osiris do la sorte, échappèrent comme lui h ta destruction pour aller prospérer sous son autorité dans ces champs d’Intou, dont il était le roi. Co rôle de diou des morts, en faisant d’Osiris un dieu adoré partout on Egypte, finit à la longue p.ir lui assurer lo premier rang au sommet du panthéon égyptien.

OSISMIENS (siss-mi-in) [on lat. Osismii], peuple de la Gaule (Lyonnaise IIP), dont la principale ville était Vori/nnium.

OSKALOOSA, villo des Etats-Unis (Iowa ch.-l. du

comté de Mab :isca, sur le Cedar naissant (bassin du Missis-sipi ;

8.00n hab. Gisements do houille et de fer.

OsKOL, rivière de la Russie méridionale (gouv. de Koursk. Voronèjo, Kharkof). Elle coule vers le S., baigno Starvi-^>''/o/, Valoiiïki, Koupiansk et gagne la rive gauche du liouetz, affluent droit du Don. Cours 370 kilom.

OSKOL ou StRARYI-OSKOL {Vifiux-Osfcol), villo do la Russie d’Èuropo (gouv. do Koursk), ch.-l. de district, sur VOsliol ; 17.000 hab. — Lo district ost peuplé de 132.000 liah.

OsLAWAN. bourg d’Autriche-IIongrio (Moravie [cercle do liruiinj). sur VOslawa, affluent de l’Iglava (bassin du Danube) ; 2.500 hab.

OSLOB, ville d’Océanio (Malaisio rarchipel des Philippinesj), iln et province de Cébu, dans le groupe des Vizayas. Ch.-l. d’un district administratif, riche en caoutchouc ; 8.000 hab.

OsMA, OsEM, rivière do la Bulgarie, qui naît du versant nord des li ;ilk ;ins. coule au N. par Troïau. Lovetz, et atteint le Danube, rive droite, près Nikopoli ; loo kilom.

OsMA. l’am-ienui^ Oxama ou Uxama, ville d’Espagne (Vieillo-Castille [prov. do Soriaj), au conlluent do la Téjaiia et de TUcero ; i.UO hab. Siège d’un évèclié. Fabrication de draps et de cuirs. Vieille enceinte ; église paruissiale, palais épiscoi)al.

OS MAGNA SON ATVRVM [liouche aux paroles sublimes), fragment dos vers 43 et -il do la satire iv du livre I" des Satires d’Horace, où celui-ci prétend ne donner le nom do poètes qu’à ceux qui possèdent >> le génie, une intelligence divine, une bouche aux paroles sublimes ".

Osman r snrnomnié el-Gbazi (le Victorieux), f onduleur do la dynastie osmaulie, né à Soukout (Bitli^v’iie) en 1259, mort on i :i2G. U était fils d’Ertliogrul, cliet’ ouigour, entré au service du Seldjoukide Ala eti Din-Kaï-Kobad. Osman devint le maître d’une partie de la Bithynie ; il s’empara de Nicéo en 1304. Il laissa lo trûne à son fils Orkiiaii.

Osman II, seizième sultan de la dynastie osmanlie, né en Kioi. mort à Cnnsianlinople en 1622. Il était tils d’Ahmed (Aciunct I"’) et monta sur lo trône en 1618, après la déposition de Moustafa !•=’. En 1621, Osman II entreprit uno guerre malheureuse contre la Pologne. U fut renversé par uno révolte do janissaires, et enfermé aux fcJopt-Tours, où le gr ;iinl vi^ir Daoud-pacha lo fit étrangler.

Osman-bazar, ville do la Bulgarie (distr. de Tirnova), dans uno haute vallée du versant septentrional des Balkans ; 3.845 hab. Mégisserie.

OsmAN-DIGNA (/e Barbu), nom pris par Georges Nishet. lié ù Rouen, en 1836, do parents français qui se fixèrent en Egypte. Là, sa mère se remaria avec un marchand arabe du nom d’Osman, et, converti à l’islamisme, il s’établit à Souakim pour y faire le commerce. Lors de l’insurrection d’Arabi-pacha (1882). il se prononça pourlo chef du parti national égyptien. Plus tard, quand éclata la révolution mahdisto, il so distingua contre les troupes anglo-égyptiennes, après la chut-e de Khartoum. En 1898, il assista à la défaite du Mahdi par les Anglais, et il fut fait prisonnier par trahison quelque temps après (i ;m)o).

OsmANDJIK, villo de laTurqnie d’Asie (Analolie fprov. de Sivaji. sur le Kisil-Irmak ; 8.ii40 hab. Dans la citadelle, mausolée construit par Bajazet IL

OsmaniÉ (ordrk impérial de L’),créé on 1861 par Abdul-Aziz, empereur des Turcs, qui lui a donné le nom du chef de sa dynastie (Osman). Cet ordre, destiné à récompenser tous les genres de mérite, est formé do cinq classes : grands-croix, écbarpe ot plaque ; grands officiers, plaque ; commandeurs, sautoir ; officiers ot chevaliers, boutonnière. Il a pour insignes une étoile à sept pointes en or émaillé de vert, suriiioiitéo d’un croissant d’or et angléo do rayons li’argent. Au centre do l’étoile, une inscription en langue turcpio rappcUo lo nom du fondateur do l’unfre ; au revers, sont r(q)résentées los armes do l’empire. Lo ruban est vert. liséré de rouge.

Osmanli. IE {oss — de Osman, fondateur do cette dynasd. -,, iiodi liunné aux Ottomans, spécialement aux membres de la dynastie turque do Constantinople et aux Turcs des grandes familles. — l/n Osmanli. Une Osmanmk.

— Adjectiv. : Dynastie osmanlie.

— n. m. Nom do la langue parlée en Turquie par les lettrés et les fonctionnaires. (C’est du turc assez fortement mélangé d’éléments empruntés à l’arabe. I^’osmanli est la langue ofliciollo de la Tur([uie.)

— Encycl. Les Osmanlts ou Turcs d’Europe étaient, au XII» ot au xui* siècle, uno tribu ouïgoure, comprenant ég.ilement les Turcs qui devinrent les Soldjoukides et probablement aussi les Yakouios. Ces Turcs, qui étaient vraisemblablement chrétiens, furent amenés en Asie Mineure par les conquêtes de Gengis-Khan, et une centaine de familles, sous la conduite d’Erloghrul, refusèrent, lors do la retraite, do rentrer en Mongolie. Solel’man, filsd’ErtogbruI, entra au service du dernier . sultan seldioukide d’Iconium, Ala-od-Din, ot fonda en Phrygio le petit Etatqui devint plus tard l’empire ottoman. (V. Turquik. et .SKLDJot ;Kim ;s.) Los Turcs do 8taml)ouI se nomment Osmanlis et repoussent le nom do Turc comme uno injure. V. Tune.

Osman-pacha, amiral turc, né à Rizé vers 1785, mort vers 1K6II. Il servit dans la marine turque, puis fut au service du Uliédive d’Egyple, Méhémet-Ali. Il rentra dans los cadres do la marine turque en 1814 et fut nommé contre-amiral (1847). Quand la guerre éclata entre la Turquie et l’empire russe, il commandait la flotte de la mer Noire MK51 qui fut écrasée A Sinope par l’escadre russe. Prisonnier ù Saint-Pétersbourg, Osman-pacha retourna ii

ïo — ûî

Ordre d’- l’Ûsmanli^.

Osman-pacha GhazI,

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la ronrlusion de la paix, à Constantinople. où le sultan lui confia la direction de larsenal de Smyrne.

Osman-pacha Ghazi, maréchal ottoman, né à Amassia (Asie Mineure) eu 1837, mort à Constantinople en 1900. Entré dans larméo en 1853, il était chef de bataillon quand le sultan Abd-ul-Aziz envoya une expédition eu Crète (18G7) pour réprimer rinsurrcciion , et il en revint colonel. Lors de la déclaration do guerre do la Sorbio à Ja Porte (1876), il fut mis à la této d’une des armées turques et s’empara de Zaïtchar. Quand la Russie eut déclaré la guerre à l’empire ottoman, ot que les troupes du tsar eurent franchi le Danube, Osman-pacha les écrasa, puis so retranrlia dans Plevna. Après une lutte épique autour dû la ville, dans laquelle les Russes perdirent un nombre énorme do soldats et où fut tué le duc Maximilien de Leuchtonberg, le grand-duc Nicolas renonça à emporter Plevna d’assaut et fit investir la place par Totleben. Après une résistance héroïque, Osman essaya de se frayer un passage à travers les lignes russes (10 déc. 18781, mais il fut blessé et fait prisonnier. Après la conclusion de la paix, il fut chargé par le sultan Âbd-ul-Hamid de reconstituer l’armée lurque, fut nommé maréchal du palais du sultan, occupa le ministère de la guerre jusqu’en 1885 et, â l’époque de la guerre gréco-turque (I8y7), reçut le commandement général de l’armée turque.

OsMAN-PACHA (Jean-Guillaume, duc db Rii’perda,

appelé nuclquef.), aventurier hollandais. V. Rippkrda.

OSMANTHE ioss) n. m. Bot. Genre d’oléacées.

— Encycl. Les osmanthes sont des arbres ou arbustes asiatiques, océaniens ou de l’Amérique du Nord, assez voisins des oliviers, glabres, à feuilles persistantes et opposées, à fleurs odorantes, (jui peuvent servir à. parfumer certains thés, et ayant pour fruits des drupes à noyau dur. On en connaît sept à huit espèces ; Vosyuantlius aquifoUum est rustique sous le climat de Paris ; les osmant/tits fragrans et Americana y réclament l’orangerie.

OSMAZÔME ioss — du gr. osmé. odeur, et zômos. bouillon » II. m. ( Iiini. Nom donné par Thénard au principe savoureux lîu bouillon de chair. (C’est un mélange de créatino, cn’atinine, inosite, acide lactique, etc.)

OSMAZÔME, ÉE {oss) adj. Chim. Qui contient do Tosmazome : Les parties osmazômées de la viande.

OSMÉLIE {oss. H) n. f. Genre de bixacées, comprenant des arbres à feuilles alierncs. à fleurs en grappes grêles, croissant aux îles Ceyian ot Philiipines.

OSMÉLITE {oss — du gr. osmé. odeur, et lilhos, pierre) n. f. Silicate naturel appartenant à la famille des zéolithes.

OSMERUS {oss-mé-russ) n. m. Nom scientifique des poissons du goure éperlan. V. épkrlan.

OSMIAMATE n. m. Chim. V. osmium.

OSMIAMIQUE (oss, mile’ — rad. o.S7nmHi) adj. Chim. Se dit li’uu acide très instable, obtenu par l’action de l’acide Milfurique sur l’osmianato de baryum. (Ses sels détonent vers 100».) Syn. osman-osmique.

OSMIATE (oss — du gr. osmé, odeur) n. m. Chim. Sel dérivant de l’acide osmiquo.

OSMIDROSE (oss — du gr. osmê, odeur, et idrôs. sueur) n. f. .Sueur abondante et malodorante, qui résulte d un trouble do la sécrétion sudorale et qu’on observe dans certaines maladies de la nutrition.

OSMIE (oss-mî) n. f. Genre d insectes hyménoptère s porte-aiguillon, de la famille des mégacbilidés , répandus dans l’hémisphère nord.

— Kn’cycl. Les osmies (osmia ) sont des abeilles solitaires, noires ou bronzées, recouvertes d’une épaisse fourrure rousse ou grise, ù forte tète renflée, avec la face souvent ornée de cornes. Elles établissent leur nid dans les vieux murs, le bois mort. L’osmm bicomis, à abdomen garni de poils ruuges, est commuue en Europe.

OSMIÉ, ÉE (oss) adj. Qui contient do l’osmium.

OSMIEUX ’nss) adj. m. Chim. Se dit d’un des oxydes de l’osnimm. ii So dit aussi des sols dans lesquels entre cet oxyde. V, osmidm,

OSMIIDES (oss) n. m. pi. Famille do minéraux, comprenant Vosmiiim et ses combinaiïKons. — Vn osmiiuk.

OSMIMÉTRIQUB {oss, trik’ — du gr. osmfl, odeur, et mitron, mesure) a-lj. Qui mesure, qui apprécie les odeurs : L’odorat est le sens osmimktriqoe. (Inus.)

OSMINE (oss) n. f. Métrol. Mesure de capacité russe dont la valeur est de I0i,’.i08.

OSMIOCYANURE n. m. Chim. ’V. osmium.

OSMIQUE adj. Chim. ii Acide osmique. V. ormipm.

OSMIRIDIUM {oss. om’) n. m. Osmiuro naturel d’iridium.

OSMITE (oss) n. f. Genre do composées, tribu des sénécionées, comprenant des plantes herbacées ou sousfrutescenies. qui croissent au cap de Bonno-Espérance. (La pliip.-irt d’entre elles exhalent une odeur camphréo.)

OSMITOPSIDE ioss) n. f. Genre de composées, tribu des sénéoionées, comprenafil des arbrisseaux qui croissent au cap do Bouno-Espérance. ti On dit aussi osmitopsis n. m.

OSMIUM (os.t-mi-om’— du gr. osmé, oileur. à cause de l’odeur spéciale que dégage un de ses oxydesi n. m. Métal do la mine du platine, existant dans la "nature surtout &

Osnùo (gr. d’un quart).