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Papion.

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fragments ont été réunis par Lenel dans la Palingenesm Juris civilis. La loi des Ciiatioiis do l’an 120 décidait que, si l’opinion des grands jurisconsultes était divisée on partis égaux sur une question, celle do Papinion l’emporterait.

• PAPION n. m. Genre de singes cercopïthécidés, propres à lAlriiiuo ou fossiles dans le tertiaire do l’Inde. (Spéciale mil- ni, ou entend par (I papion II le cUœropithtcus sphinx ou clioras et les autres chœropitlœciis.) — Pour les mœurs, v. cynocéphalk. — Kncycl. Les papions sont des singes do lorto taille, courts, robustes, à grosso tôtc, à quouo courte. Us so divisent en quatre sous-genres ; l" les vrais papions {pnpio) : type, papiocynocephalus ou babouin, répandu dans toute l’Afrique centrale et orientale ; 2" les chœropit/tecus, dont lo type est le choras [cfiœropitkecus sphinx), de l’Afrique oocidontale, remplacé on Aljyssinie par le cUœropithecus thoth et lo chœropitUecns Daf/nt-ra, t^M’amle espère qui s’étend jusqu’au Congo, et par lo chin ajufhrriff ! /utrrarius, dans l’Afrique australe, vulgairement ;i[)i)cl*’^ chacma ; 3" les hamadryas de l’Abyssinie au Soudan et à l’Arabie ; 4° les mormons {mnrmon), avec le drill (mormon leitcopha’Hs ) et le mandrill {mormon Maimon). V. cynockpiialb,

DRILL, BABOUIN, CHACMA.

Papiria (famille), maison do l’ancionno Rome, qui coiupiaitdes patriciens et des plébéiens. Los brandies pa-Iriiiennes portaient le nom do Miif/illanus, do Cursor, de Ti <(sv((.ç et tic Massa. Elles disparaissent au vi" siécio de Rome. La branche plébéienne portait lo surnom do Carbo.

PAPIRIE { ?’i) n. f. Genre d’aniaryllidacèes, comprenant des herbes bulbeuses, à feuilles radicales et linéaires, à fleurs sessiles et dressées, dont on connaît cinq espèces de l’Afrique du Sud.

PAPIRIEN (ri-in) adj. m. So dit d’un recueil do lois religieuses fait, sous Tarc|uin lo Superbe, par lo jurisconsulte Publius Sextus Papirius.

PAPIRIINÉS n. m. pi. Tribu d’insectes orthoptères thysanoures, de la famille des poduridés, comprenant le seul genre pnplrius. — Un papiriink,

PAPIRIUS {iiss) n. m. Genre d’insectos orthoptères ihysanourcs, type de la tribu des papiriinës, répandus sur l’hé-

misjihère nord. ( Lo papirius ^Ê0lilÊ^^^ ,/*^

fu^ciis se trouve aux environs .-^KT^^^. Ji/’ do Paris.)

Papirius (Lucius Cras-

sus), magistrat romain, prétour en 340, puis dictateur pour combattre la révolte des Latins, consul en 336 et 33o, vainqueur <ie Pivernum, maître do la cavalerie sous le dictateur L. Papirius Cursor (325), censeur en 318.

Papirius Cursor (Lucius), homme de guerre romain, doux fois dictateur (323, 308 av. J.-C), cinq fois consul (325, 319, 318, 314, 312), trois fois triomphateur comme vainqueur des Samuites, des Sabins. des Préneslins. Sa légèreté à la course lui valut lo surnom de Cur~ snr. D’une inflexible sévérité, il condamna à mort Maximus RuUianus, maître de la cavalerie, qui avait attaqué l’ennemi malgré sa défense et l’avait battu. 11 ne lui lit gràco que devant les supplications menaçantes de l’armée et du peuple. " Son fils, Lucius Papirius Cursor, deux fois consul (293, 272), obtint lo triomphe tleux fois pour ses victoires sur les Samnitcs et les Brutiéns.

PAPISME [pissm’— rad. papiste) n.m. Nom que les chrétiens dissidents et particulièrement les anglicans donnent par dérision à l’Eglise catholique romaine, n Autorité, gouvernement du pape.

PAPISTE [pisst’ — rad. pape) n. Nom que les chrétiens dissidents donnent par dérision aux catholiques romains,

PAPISTIQUE {stik’) adj. Qui appartient aux papistes.

PAPOAGE {af) ou PAPOAIGE {êj’) n. m. Dr. anc. Bien roouoilli dans ïa succession d’un ascendant.

PAPOLÂTRE (de pape, et du gr. latreia, adoration) n. et adj. Kpithôte que les chrétiens dissidents appliquent aux catholiques romains ; Chrétiens PAPOLÀTHiiS. (Peu us.).

PAPOLÂTRIE [tri] n. f. Condition des papolàtres.

Papon (Jean-Pierre), historien français, né à Puget-Theuiers en 1731, mort à Paris on 1803. II entra à l’Oratoire, se retira sous la Révolution dans lo Puy-de-Dôme, et fut, lors de la réorganisation de l’Institut, nommé membre associé. Ses principaux ouvrages sont : Histoire générale de Provence (1777-1786) ; Histoire du ijouvernement français depuis le 32 février i7S7 jnsou^à là fin de i~88 (17SD) ; Histoire de la Révolution de France depuis 17S !> jnsi/ii i fS’Bruynaire (1815).

PAPONGE n. f. Bot. Syn. do luffa.

PAPOSITE n. f. Sulfate hydraté naturel de for.

PAPOTAGE (/« ;" — rad. papoter) n. m. Bruit do vaines j’uroles : L<’ pxpoTXGE des diseurs de riens.

PAPOTER fonomat.) v. n. Fam. Produire un vain bruit do paroles, ii Dire des choses sans valeur.

Papouasie. Géogr. V. Nouvelle-Guinke.

PAPOUILLE (poK-ill [Il mil. ;) n. f. Polit navire employé aueabotage.eutreremboucliuroder.mazoneetlaGuyane.

Papous ou PapouAS (du malais ^papouwah, crépul. nom donné aux nègres qui forment lo fond de la population

Papirius {gr. 8 rois ;.

et la Tasmanie.

Cn

de la Mélanésie moins r.ustral Papou, Une Papoue ou Papoia.

— Adjectiv. Qui se rapporte aux Papous : Les dialectes papous. Langue papoue.

— n. m. Linguist. Idiome en usage chez les Papous.-S’exprimer en papou.

VI.

Papous.

— Encycl. Ethaol. Les Papous ont envoyé des migrations dans diverses directions, et, à la Nouvelle-Zélande, on a retrouvé leurs traces. En revanche, dans leurs propres îles, il» ont reçu des Malais, des Polynésiens et même des Négriios, avec lesquels ils se sont’croisés. On considère généralement la.Nouveile-Guiuéo comme renfermant les Papous les plus purs.

Lo Papou est d’une taille un pou supérieure à la moyenne. Il a la peau d’un noir tirant sur le chocolat, les cheveux crépus, le crâne long (dolichocéphale), lo ne» largo, mais saillant, les lèvres grosses, sans qu’elles atteignent cependant les dimensions do celles des Soudanais, et lo menton un pou fuyant. L’habitude qu’ont ces sauvages do ramasser avec lo pied de monus objets a produit un écartemont du gros orteil. Ils so tatouent le corps. Leur costume so compose d’uno bande d*écorce battue, enroulée à la taillo et ramenée outre los jambes ; ils y ajoutent une quantité do colliers, do bracelets, d’anneaux do jambes, de pendants d’oreilles, et souvent dos bâtonnets passés à travers la cloison ilu nez. Us so livrent â l’agriculture, à la chasse, à la pôcho ot montrent tous un goût prononcé pour la chaîr humaine. Us sculptent, gravent ou peignent les objets los plus usuels. Intelligents, hardis, ifs no craignent pas d’affronter la haute mer sur leurs pirogues à balancier. Ils croient ù do mauvais esprits ot â la survivance d’une partie do lin dividu ; aussi déposent-ils des armes, des aliments à cûié des morts ot rendent-ils un culto aux ancêtres. — Pour ch.iquo groupe, nous renvoyons aux articles Nouveli.k-Bhetagne, Nouvelle-Calédonie, Nouvelle-Guinée, Nouvelles-iiébriuijs.

— Linguist. Les idiomes employés par los Papous n’appartiennent pas à une famille unique : les Papous do la Mélanésie parlent un idiome do la famille inaléo-polynésionne. Les dialec ;tes jmpous proprement dits, dont fait partie lo néo-calédonien, oiTront la structure des langues agglutinantes. Ils sont arrivés à exprimer l’idée do u quatre », mais non point à abstraire celle du pluriel.

Papozze, comm. d’Italie (Véuétie [prov. do Kovigo ). sur le Pô ; 2.5 :>0 hab.

Pappadopoulo (Grégoire- Georges ) , archéologue grec, no à Saloiiique en 1818, mort à Athènes en 1873. U occupa diiréreutes fonctions administratives, et devint, on 1870, chef de division au ministère des atTaires étrangères. Nous citerons de lui : Description raisonnée de six cent trois pietTes gravées, antiques, inédites, trouvées en Grèce (1855) ; Sur l’élément hellénique dans la juition roumaine, étude historique et ethnologique (1859) ; Chants populuircs di-s (Irrr.-i de la Corse (ISC-i) ; Etude sociale sur la fvnime, sur /a fcminc grecque c a particulier (18ti6) ; etc.

PAPPAPPAPPAPAII exclamation que l’on rencontre souvent dans le théâtre grec. C’est un redoublement do l’inierjoction papai. cri de douleur physique, dont l’eflet, dit-on, était dramatique.

PAPPE (du lat. pappus, gr. pappos, aigrette) n. m. Aigrcite qui surmonte los semencos do quelques plantes après la floraison.

PAPPÉA (rad. /jappe) n.m. Genre d’ombellifères. comprenant des herbes rameuses, â feuilles petites ot disséquées, à fleurs en ombelles, croissant dans l’Afrique australe.

PapPENHEIM. ville d’Allemagne (Bavière [Moyonno-Franconic ). sur l’Altmiihl. affluent du Danube ; 1.624 hab. Ch.-l. du comté de Pappe«/teim, annexé à la Bavière ou ia06.

PappenheiM (Godefroi-Henri. comte de), général allemand, né à Pappenheim eu 1594, mort à Leipzig en 1632. Il fut noninu’ c^onseiller aulique par l’empereur Matthias. Après avoir servi dans l’armée du roi Sigismond de Pologne, il passa au service de Maximilion de Bavière, ei fut laissé pour mort sur lo champ de bataille do la Montag ; ne Blanche, en luttant contre les Bohémiens. En 1623, l’empereur lui donna le commandement d’un régiment do cuirassiers, le fameux régiment do Pappenheim. Rappelé par Maximilien pour combattre les paysans de haute Antriche, soulevés contre la réaction catholiquo, il les délit dans quatre combats (1626). Général do la cavalerie sous les ordres do Tilly, son impétuosité amena la défaite de Breitenfeld. Il commença alors une guerre de partisans contre Baner, Wolfenhiittel et le duc de Veimar, puis so dirigea vers la Wcstphalie et Maëstricht, so réunit à AVallenstein, et marclia sur Halle. Rappelé par Wallenstein, que les Suédois menaçaient à Lutzen, il fut blessé mortellement, au moment où son arrivée faisait plier l’armée de Gustave-Adolphe.

PAPPERITZIE {tzî) n. f. Genre d’orchidées vandées, comprenant des plantes épiphytes pseudo-bulbeuses, â belles tleurs en grappes simples. (On en connait vingt espèces très recherchées et qui réussisscut bieu’en serre chaude.)

PAPPEUX (pa-peû), EUSE [rad. pappe] adj. Bot. Muni d’une aigrette.

Pappienne ipa-pi-ën) adj. f. Se dit d’une loi édictée par le consul Pappius eu l’an 762 de Rome ot connue aussi sous le nom do loi Pappaia Pappea.

PAPPIFÈRE (pa-pi- — du lat. pappus, aigrette, et ferre, porteri adj. Bot. Qui porte une aigrette.

PAPPIFORME {pa-pi — de pappe, et forme) adj. Bot. Qui a laioi’iiie d’une aigrette.

PAPPOPHORE (pa-po) n. m. Bot. Genre do graminées.

— Encycl. Les pappophores (pappophorum) sont des herbes vivaces et cespiteuses des régions tropicales. Leurs cpillots pauciflores sont réunis en une sorte d’épi denso : les glumes sont parcourues par de nombreuses nervures et divisées en lobes nombreux.

PAPION — PAPYRUS

PAPPOPHORE. ÉE (pa-po) adi. Bot. Qui ressemble ou qui so ra[»portc au genre pappophore.

— D. f. pi. Tribu de la famille des graminées, ayant pour type le genre pappophore. — Une pappopuorêë.

Pappos {oa-poss — gr. pappos, duvet) adj. m. MythoL gr. Surnom donné à SiTeno à cause de sa longue barbe.

PAPPOSILÈNE f pa-po — du gr. pappos, duvet, et silènos, silène) n. m. Mythol.gr. Nom doune â des silènes barbus ot velus qui figûraieui dans le drame satyrique.

Pappus, mathématicion d’Alexandrie, qui vivait vers la fin du iv" siècle. Il nous est connu par son ouvrage intitulé : Collections mathématiques, en huit livres, dont le premier et la moitié du second ne nous sont point parvenus. Les Collections paraissent avoir été données par Pappus pour offrir aux géomètres de son temps une analyse succincte des ouvrages les plus difficiles des anciens ; mais Pappus y a lui-même ajouté un grand nombre do propositions intéressantes. U démontre, par exemple, que, u SI un point mobile partant du pôle d’un hémisphère parcourt un cadran perpendiculaire à la base pendant que ce cadran fait une révolution entière autour de l’axe, l’espace compris entre la circonférence do base et la spirale décrite sera égal au carré du diamètre de la sphère ». C’est le premier exemple que l’on ait de la quadrature d’uno surface courbe. La théorie des transversales lui doit plusieurs théorèmes remarquables, dont Pascal, Desargues, Poncolet ot Chasles ont fait do nombreuses applications.

Pappus avait ébauché la théorie de l’involution, qui a été constituée par Desargues ; il paraît être l’auteur du théorème sur la constance du rapport des distances d’un point (luelconcjue d’une conique à l’un de ses foyers et à la directrice correspondante. Knfin, le théorème de Guldin, dont il est sans doute le premier autour, se trouve énoncé dans la préface du VIP livre des 6’o//ec/io7j« mathématiques.

On désigne, depuis Descartes, sous le nom do problème de Pappus, cette question qu’Euclide et Apollonius avaient résolue pour les cas do trois et do quatre droites, et dont l’autour des Collections a étendu l’énoncé à un nombre (|uelconquo do droites : • Etant données 2m droites, ou 2»/i — 1 droites, trouver le lieu des points tels que le produit de leurs distances aux m premières soit dans un rapport constant avec le produit de leurs distances aux m dernières, ou au produit do leurs distances aux m — 1 dernières et d’une constante, d Le texte grec d© Pappus a été édité par Hultsch (Berlin, 1876-1878).

Pappus personnage des atellanes. C’est un vieillard avare et libidineux, tantôt rusé, tantôt simple et crédule, toujours dupe do son fils, de sa maîtresse et de son esclave.

PaprÊMIS. nom que les historiens grecs donnent à une ville égyptienne du Delta, près de la({Uelle le Libyen Inaros et les Athén ions ses alliés battirent, en 461av. J.’-C., les Perses commandés par Achéméuès.

PAPRIKO n. m. Soupe au poivre, en usage en Afrique.

PAPULAIRE (1er’ — rad. papule) n. f. Genre do petits cliaMipiL’iiuiis, dont l’espèce type vit sur les feuilles du hêtre, où elle forme des taches d’un gris noirùtre.

PAPULATION {si-on) U. f. Pathol. Production de papules.

PAPULE (lat. papula) n. f. Pathol. Lésion cutanée, caractérisée par une élevuro de forme variable.

— Bot. Sorte de protubérance ou do boursouflure arrondie, mollo et remplie d’un liquide aqueux, qui so trouve sur l’épiderme de certaines plantes.

— Encycl. Pathol. La p«pu/t’, généralement de couleur rose, rouge ou brune, est constituée par une infiltration de la couche superficielle ou papillaire du derme ; elle ne contient ni pus ni sérosité et disparaît par desquamatiou, sans laisser de cicatrice. Elle s’observe dans le lichen pilaris. le lichen lividus, le strophulus albidus. etc.

PAPULEUX (^’Mi.EUSE adj. Couvert de papules : Peau rAi’iri.Ki.sE. Il Qui a le caractère des papules : Eruption

PAPLXEUSK.

PAPULIFÈRE (do papule, et du lat. ferre, porter) adj.

Bol. i.Hii pune des papules : Feuille t’pri.ïyi :RK.

PAPULIFORME (do papule, Gt forme) adj. Qui a la forme

d’une papule.

PAPYRACÉ (sé), ÉE [du lat. papt/raceus. relatif au papyrus ] adj. Teehn. Qui a la nature, la consistance du papier, ou qui en a la minceur : Coquille papyrackk.

— Liihol. Tourbe papy racée, Tourbe composée do feuillets minces superposés.

PAPYRIER n. m. Bot. Syn. de broussonétie.

PAPYRIFÊRE de pnpgrns, et du lat. ferre, porter) adj. Se dit des vi’u'ètaiix dont le liber peut servir à faire du papier : Aralie papvrifkrk.

PAPYRIFORME du lat. papi/rus, papier, et de /"orme)

adj. Bot. Qui a la forme du papier.

PAPYRIN, INE (rad. papijrus) adj. Bot. Qui a l’apparence du papier.

— n. f. Cliim. Cellulose modifiée par l’acide sulfurique. PAPYRINE (du lat. papj/ms. papier) n. f. Composition

ayant l’asiu-ci. de papier trituré, destinée à remplacer la terre pour la culture des plantes d’appartement.

Papyrius [USS — du lat. papyrus, papier) adj. m. Surnom donné à Law, dans quelques-uns des nombreux pamphlets publiés sous la Régence, par allusion à la quantité de papier-monnaie dont ce financier inonda la France.

PAPYROGRAPHE n. m. Celui qui exerce la papyrogra-

phio.

PAPYROGRAPHIE ifi —de papyrus, et du gr. graphein, écrire^ n. f. .rt d’imprimer en lithographie, au moyen du papier-pierre substitué à la pierre lithographique, n Art de dessiner, d’écrire sur le papier-pierre ou pierre lithographique factice.

PAPYROGRAPHIQUE (/ÏA’)adj. Quî a rapport à la papyrographio.

PAPYRUS fr((ss — du lat. papyrus, gr.papuros) n. m. Bot Espèce du genre souchet, utilisée par les anciens Egyptiens pour la confection des manuscrits.

— Enxycl. Le papyrus (cyperus papyrus) est une grande et belle plante, dont la tige nue, haute de 2 à -1 mètres, de section triangulaire dans sa partie supérieure, pleioe

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