Page:Nouveau Larousse illustré, 1898, VII.djvu/1491

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ZAKOPANE ZAMIE ZAKOPANE, bourg i Austro-Hongrie (Galicie (cercle de Nes Santec), sur la Cicha-Wola, sous-affluent lointain de la Vistale: 3.700 hab. Métallurgie, scieries. ZAKYNTHOS, ZACYNTHE, ZANTHE on ZANTE, ville de trece, chel. de l'ile homonyme, sur la côte orientale de laquelle elle est bâtie, dans une baie profonde et bien abritée: 12.000 hab. La ville a presque entièrement con- servé sin aspect de cité vénitienne. Le port, relié par des services réguliers & Syra et à Patras, fait un actif com- merce de vias, huiles, Higues, fruits séchés, etc. ZAKYNTHOS, ZACYNTHE, ZANTHE on ZANTE, lle de la ürece occidentale, dans le groupe des lles Ioniennes, dout c'est la plus méridionale. Superf. 434 kilom, carr pop 400 haf. Zanthe, séparée de la côte occidentale du Peloponese par la canal de Zanthe, est de forme sonsible- prolongat tion des Stro- phales, Sol gé- aéralement montagneux. particulière- AGORA Monnaie de Zakynthos. partie occidentale de 11le, que parcourt une chaine cal- caire dont le sommet principal, le Vrakounia, se dresse à 758 mètres d'altitude. A IE, au contraire, aux environs de la ville de Zanthe, qui est l'agglomération principale de File, s'étend une plaine fertile, relativement bien arrosée, et qui produit en abondance la vigne, le figuier, l'oranger, F'olivier, dont la culture, avec la pêche maritime, constitue la ressource principale des habitants. Zanthe aurait fait partie, à en croire les traditions ho- mériques, du royaume d'Ulysse. Colonisée par les Achéens, elle at ensuite partie du domaine athénien. Elle appartint saccessivement, au moyen âge, à l'empire byzantin, aux Normands, aux Vénitiens, qui ne s'en dessaisirent qu'en 1797. ZAL o. m. Neuvième lettre de l'alphabet arabe, on- néme de l'alphabet ture, équivalant à peu près à notre s. ZALAMEA de la Serena (lat. Julipa), ville d'Espagne (Estremadure prov. de Badajoz), près de l'Ortegas; 5.200 hab. Minerais de plomb argentifère. ZALAMEA la Real, ville d'Espagne (Séville [prov. de Huelva: 6.240 kab. Sources minérales, cuivre. ZALAQUE (lak) n. m. Genre de palmiers lépidocaryés, dont on connait huit espèces, de l'Inde et des iles voi- sines. (Leurs fruits ont une chair de saveur acidulée, qui les rend agréables à manger.) On dit aussi ZALACCA. ZALESCZYCKI, ville d'Austro-Hongrie (Galicie), sur le Dniester; 4.000 hab. Fabriques de draps. ZALESICE, bourg de Russie/Pologne [gouv. de Radom); 3.500 hab. ZALESKI (Bogdan ou Dieudonné), poète polonais, nė A Bobatyrka (Ukraine) en 1802, mort à Villepreux, près de Paris, en 1886. Il prit une part active à la défense de la Pologne, sous les ordres du général Skrzynecki, dont il devint l'aide de camp. En 1831, il se réfugía en France, d'où il fit de nombreux voyages en Allemagne, en Syrie, ea Palestine, en Italie. Un recueil de ses poésies parut à Lemberg en 1837, et un autre à Paris en 1841. Ses principaux ouvrages sont les Dumki, inspirés par les tra- ditions de l'Ukraine: les Rusalki ou romances qui sont tres populaires; (Esprit des steppes (1842), épopée lyrique, passant en revue les faits principaux de l'humanité; la Sainte Famille, tableau de la vie de Jésus-Christ encadré dans des descriptions très exactes de la Terre sainte. L'exil et les malheurs de la Pologne donnent à sa poésie un caractère de sincérité profonde et vibrante. ZALEUCOS, législateur de la ville de Locres, en Italie (v s. av. J.-C.), dont l'existence a été mise en doute. Au temps de Cicéron, sa mémoire était encore vénérée par les Locriens. Il rédigea pour eux un code de lois cé- lebre dans l'antiquité. Son préambule nous a été conservé eu sabstance par Diodore de Sicile, et textu llement par Stobée. Suivant ane tradition, Zalencos avait ordonné que Talaltère füt privé de la vue. Son propre fils ayant été convaines de ce crime, le peuple voulait lui faire grâce; mais l'austère magistrat résista aux prières des Locriens et confirma la sentence. ZALMOXIS. Biogr. V. ZAMOL.XIS. ZALTBOMMEL on ZALT-BOMMEL, ville des Pays- Bas (Gueldre), sur le Waal; 4.000 hab. ZALUSKI (André-Chrysostome), prélat et homme d'E- tat pelosals, né en 1850, mort en 1711. Il seconda Sobieski dans tous les actes importants de son règne. Devenu se- crétaire de la couronne, évêque de Kiev (1783), il négocia en 1681, avec FAutriche, le traité qui valut à Vienne, attaquée par les Tures, le secours de Sobieski. En 1691, il fat proma évêque de Plock: en 1699, évêque de Warmie et grand chancelier. Il a laissé deux recueils de discours et de sermons et des Epistole historier familiares (1707- 1711, qui renferment des matériaux précieux pour l'histoire du règne de Jean III Sobieski. Son neveu, ANDRE-STA- NISLAS-KOTSKA, né en 1494, mort en 1758, assista au sacre de Louis XV (1728) et fut évêque de Plock, grand chan- celier de la couronne et évéque de Cracovie. ZALUSKI (Joseph-André), prélat et bibliophile polo- sais, frère du précédent, né en 1702, mort en 1774. Il employa plusieurs années à voyager avant d'entrer, à son retour en Pologne, dans l'état ecclésiastique. Il fut alors nommé chanoine de Plock et grand référendaire da royaume. Il avait embrassé le parti de Stanislas Leczinski, qui l'envoya à Rome. Plus tard, il rejoignit ce prince exilé dans son nouveau domaine, en Lorraine. Il rentra pourtant At en Pologne, avec l'autorisation d'Au- guste III, et ne tarda pas à recevoir l'évéché de Kiev. C'est alors qu'il conçut le projet de créer une immense bi- bliothèque: il y employa la plus grande partie de sa for- tune. En 1748, il fit don à la nation des 24.000 volumes qu'elle contenait. A la diète de 1767, où il siégeait, Zaluski s'eleva avec force contre les dissidents, et il fut arrêté par Repnio, ambassadeur de Catherine II et exilé pendant huit ans à Kaloaga. A son retour, il trouva sa bibliothèque désorganisée. Elle devait, en 1795, lors du dernier partago de la Pologne, étre transportée à Saint-Pétersbourg, où elle constitua le premier fond de la Bibliothèque impériale russe, Zaluski avait employé les loisirs de son exil à compo- ser un important ouvrage bibliographique, que Muczowski a publié Bibliothèque des historiens, des diplomates, des jurisconsultes et des autres auteurs polonais ou étrangers qui ont écrit sur la Pologne (1852). Citons encore: Specimen historie Polonia critica (1733) et une autobiographie écrite en vers blancs: Evénements qui ont frappé J.-A. Zaluski, évéque de Kiev, pendant sa captivité en Russie (1773); etc. ZALUZANIE (f) n. f. Genre de composées hélianthées, comprenant des arbrisseaux du Mexique. ZAMA, site de l'Afrique du Nord ancienne, célèbre par la fameuse bataille qui marqua la ruine de Carthage á la fin de la seconde guerre punique et où Annibal fut vaincu par Scipion. La plupart des archéologues le placent sur les bords de la Medjerda, un peu au-dessus du confluent de l'oued Boul, près du petit village actuel de Zouam. Zama (BATAILLE DE), gagnée par Scipion sur Annibal le 19 octobre 202 av. J.-C. Depuis cinq ans, Annibal, dé- couragé, se contentait d'occuper l'Italie méridionale, frap- pant de temps à autre un coup brusque pour tenir l'ennemi en respect. Scipion comprit que le seul moyen d'en finir, était de porter la guerre en Afrique. Il eut l'habileté de contracter alliance avec plusieurs chefs numides, tels que Syphax et Masinissa. Carthage, menacée, se hâta de rap- peler Annibal. A peine débarqué, comprenant que la cause carthaginoise était perdue, il demanda une entrevue à Scipion; ils ne purent s'entendre. La rencontre suprême eut lieu près de Zama. En première ligne, Annibal disposa quatre-vingts éléphants chargés de tours, puis les Gaulois et les Liguriens; en troisième ligne, les Carthaginois et les Africains; en réserve, ses vieilles bandes d'Italie. Sci- pion disposa son armée en trois lignes et opposa aux élé- phants des soldats armés à la légère, soigneusement es- pacés. Les éléphants, harcelés, furent saisis de panique; ils jetèrent le trouble dans l'armée carthaginoise. La vic- toire, disputée par les deux infanteries, resta enfin aux Romains: 22.000 Carthaginois restèrent sur le champ de bataille. Annibal rentra précipitamment dans Carthage. ZAMACOIS (Edouard), peintre espagnol, né à Bilbao vers 1840, mort en 1871. Il débuta au Salon de 1863 avec Engagement de Cervantes dans l'armée et Diderot et d'A- lembert. Citons, parmi ses meilleurs tableaux : les Conscrits en Espagne; un Bouffon au XVIe siècle; Contribution indi- recte; le Favori du roi et le Réfectoire des trinitaires à Rome; l'Education d'un prince; etc. ZAMAMASHOUMIDDIN, avant-dernier roi de la dynas- tie cosséenne, successeur de Mardoukabaliddin, et qui monta sur le trône en 117 av. J.-C. Défait par Assourdan fer, roi d'Assyrie, il fut battu et tué par Shoutrouknakhkhounte, roi d'Elam, en 115. ZAMBECCARI (le comte François), aéronaute italien, né à Bologne en 1756, mort en 1812. Entré jeune dans la ma- rine espagnole, il tomba au pouvoir des Turcs, passa quelque temps au bagne de Constantinople, fit un voyage scientifique dans le Levant et retourna dans sa patrie. Pas- sionné pour l'étude des aérostats, il conçut l'idée de diri- ger les montgolfières au moyen de rames. Le 12 mai 1812, il fit, à Bologne, l'essai de son invention. Le ballon à rames s'accrocha à un arbre, prit feu, et l'audacieux expérimen- tateur se tua dans sa chute. ZAMBEZE, fleuve de l'Afrique méridionale, réunissant des rivières de plateau nées dans l'Angola portugais, près des frontières du Congo belge, et dont l'une sort d'un lac à 1.445 mètres. Appelé d'abord Liba, puis Liambaï, il sé- pare longtemps l'Angola (à droite) de la Zambézie britan- nique (à gauche), tombe par les chutes de Gonyé, puis par une série de rapides, de cataractes d'environ 120 kilom. de long, côtoie un moment l'Afrique allemande du Sud- Ouest et se précipite par la superbe cascade de Victoria, haute de 120 mètres, après quoi il sépare le pays des Ba- rotsés (au N.) de celui des Matabélés (au S.) et s'engage dans l'Afrique orientale portugaise, baigne Zumbo, s'é- branle de nouveau en rapides et cascades au passage des monts, frôle Tété, franchit en défilés l'obstacle des monts de Loupata, reçoit à gauche le Chiré, déversoir du lac Nyassa, et arrive au delta qui le mène au canal de Mo- zambique, à la mer des Indes; 2.660 kilom. Régime tropical. ZAMBÉZIE, vaste région de l'Afrique australe, com- prenant essentiellement le bassin du Zambéze, limitée par le bassin du Congo et le plateau des Grands Lacs au N., le Kalahari et le bassin du Limpopo au S., l'Atlan- tique et l'océan Indien à l'O. et à l'E. Sa surface est de plus de 3 millions de kilom. carr. C'est un plateau ancien de granit et de grès, plus élevé sur son pourtour et dé- primé au milieu. Au N., la ligne de faîte varie de 1.200 à 1.700 mètres; à l'O., les monts de Bihé dépassent 1.000 mètres; à l'E., les hauteurs du Matabéléland et du Ma- chonaland et celles qui bordent le lac Nyassa atteignent jusqu'à 2.000 et même 3.000 mètres. Au S., des plateaux peu accentués forment une séparation moins nette avec le Kalahari. Le centre est constitué par une série d'an- ciens bassins lacustres étagés entre 500 et 800 mètres. Par son climat, la Zambézie rappelle le Soudan : saison sèche en hiver, saison des pluies en été, avec diminution progressive de la durée et de l'abondance des pluies, à mesure qu'on s'éloigne de l'équateur. La plus grande par- tie des eaux s'en va à l'océan Indien par le Zambèze, que grossissent des affluents comme le Kouando, le Loemba, le Kafané, le Chiré, venu du lac Nyassa. Plus au S. le Koabango, mal nourri par les eaux du plateau de Bihé, se perd au centre du bassin dans les lagunes instables du Ngami et du Makarikari; à l'O., le Couanza et le Couněné vont à l'Atlantique. Des steppes, comme ceux du Soudan, couvrent le pays: la forêt se rencontre en galeries sen- lement le long des cours d'eau et en quelques points de la côte est. çà et là, quelques cultures (mil, patates, ba- nanes, manioc, etc.) nourrissent les indigènes, nègres de race banton (Baratsé, Machona, Matabélé, Manica, etc.). La mouche tsétsé contrarie souvent l'élevage. La Zambézie fut connue d'abord par les Portugais qui, aux xv et XVI siècles, fondèrent des établissements sur ses côtes et pénétrèrent assez loin vers l'intérieur. Mais nos connaissances se sont précisées surtout depuis les grands voyages faits au xixe siècle par Livingstone (1849- 1854), Capello et Ivens (1875), Serpa Pinto (1878), etc. Aux termes des conventions du 20 août 1890 et du 11 juin 1891 entre le Portugal, jadis considéré comme le seul maitre de l'intérieur de la Zambézie, et l'Angleterre, les posses- sions de celles-ci se sont étendues désormais depuis le Cap jusqu'aux lacs Moërs. Tanganyika et Nyassa. Admi- nistrativement, elles formèreut le Nyassaland au N.-E., avec Blantyre comme capitale; la Rhodésia septentrionale, au N. du Zambèze, capit. Fort-Jameson, et la Rhodésia méridionale (Matabéléland et Machonaland) avec les deux stations de Fort-Salisbury et Boulouwayo. On exploite des mines d'or, de houille, et l'on a poussé jusqu'à Bou- louwayo et Fort-Salisbury la voie ferrée venue du Cap, qui va rejoindre le Tanganyika. Les possessions portugaises forment deux tronçons isolés: l'Angola à l'O., l'Afrique orientale portugaise ou Capitainerie de Mozambique à l'E. ZAMBI n. m. pl. Dieux adorés par les naturels du Congo. ZAMBO (zan) n. m. Descendant d'un nègre et d'une mu- lâtresse ou d'une femme indigène. ZAMBOURECK (san, rèk') n. m. Artilleur persan, monté sur un droma- daire qui porte en même temps une petite pièce de campagne. ZAMBRA (zan) n. f. Danse d'ex- pression, que les Espagnols ont empruntée aux Maures. ZAMBRI Ou ZIMRI, roi d'Israël (928 av. J.-C.). Il était général de l'armée is- raélite, lors - qu'il assassina le roi Ela, dont il usurpa le trône. Il venait de faire mas- sacrer tous les descendants Zamboureck. de Baasa, quand l'armée d'Israël, qui avait proclamé roi Amri, l'alla assiéger dans Thirza. Sur le point d'être pris, il incendia son palais, où il périt avec ses richesses. ZAMBROW, bourg de la Russie (Pologne [gouv. de Lomja]); 10.000 hab." ZAMÉE n. f. Pomme de pin qui s'ouvre sur l'arbre. ZAMENIS (mé-niss) n. m. Genre de reptiles ophidiens, de la famille des colubridés, répandus sur tout le globe. (Le zamenis gemonensis, vulgairement la verte et jaune, com- mun dans le Midi, dépasse 2 mètres de long; il se tient surtout dans l'eau et vit de poissons, de grenouilles, etc.) ZAMET (Sébastien), financier, né à Lucques vers 1549, mort à Paris en 1614. Attiré en France par les Italiens de la suite de Catherine de Médicis, il sut parvenir, par son habileté, du rang de simple cordonnier à la fortune des plus riches financiers. Il vécut dans la familiarité des grands et presque dans l'intimité de Henri IV, qui avait choisi la maison de Zamet pour les repas fins qu'il offrait à ses maîtresses. C'est chez lui que se trouvait Gabrielle d'Estrées, lorsqu'elle fut prise du mal soudain dont elle mourut. Zamet ne se contentait pas de recevoir le roi et ses maîtresses, il leur prêtait souvent de l'argent, ainsi qu'aux grands personnages de la cour. En récompense de ces services, Henri IV faisait à Zamet des concessions sur les fermes; il le nomma aussi capitaine du château de Fontainebleau et, plus tard, surintendant de la maison de la reine. Il avait eu pour maitresse Madeleine le Clerc, de oiselle du Tremblay, parente du P. Joseph; il en eut plusieurs enfants, qu'il légitima en l'épousant. C'est au mariage de l'un d'eux qu'il prononça un mot célèbre. Comme on lui demandait ses titres: « Qualifiez-moi, dit-il, seigneur des dix-sept cent mille écus, saillie que Des- touches a reproduite dans son Glorieux. - Son fils, JEAN Zamet, baron DE MURAT et DE BILLY, mort en 1622 au siège de Montpellier, débuta comme simple soldat dans la garde de Henri IV, fut nommé capitaine en 1606, puis gentilhomme de la chambre. A la mort de son père (1614), il fut nommé conseiller d'Etat et capitaine du château de Fontainebleau. Maréchal de camp en 1621, il prit part aux campagnes de Louis XIII contre les hugue- nots, qui l'avaient surnommé, en raison de sa bravoure, le Grand Mahomet. Il fut mortellement blessé au siège de Montpellier. ZAMET (Sébastien), prélat français, frère du précé- dent, mort à Mussey (Haute-Marne) en 1655. D'abord aumônier de Marie de Médicis, il devínt évêque de Lan- gres (1615). Directeur de conscience de l'abbesse Angélique Arnaud, il introduisit à Port-Royal l'abbé de Saint-Cyran, avec lequel il se brouilla bientôt. Rentré dans son dio- cèse, Zamet y mourut avec une grande réputation de piété. ZAMIE (mi) n. f. Genre de cycadées-zamiées. - ENCYCL. Les zamies sont des arbres ayant le port Zamie: a, châton mále. caractéristique des cycadées. Les feuilles, rigides, sont composées-pennées. Citons, parmi les trente espèces de l'Amérique tropicale, qui composent ce genre : la zamie