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do mai lo pouvoir paf>sa aux mains do Pachilcli, lo plus fjualili6 dos chefs <lu parti radical. Pacliitch, apri-s avoir réglû la question dos ofticiars rfîgicidos, s’occupa do conrluro un traité do commerce dostioô à remphicor lo rùt, ’inio provisoire commorcial avec l’Autriche nui prônait lin lo 1" juillet 1006. Mais, cette fois encoro, il se heuria ÙL la mauvaise volonté du ministùro autrichien, et il fut mis on demeure, pour obtenir la signature du traité, do consentir à oonlior A des manufactures autrichiennes ta confection du nouveau matériel dartiUcrie nécessairo à l’armée sorbe. Kn octobre, il dut accordtT ù l’industrie austro-hon^roiso pour 36.ooo.ooo do francs do commandes afin d’obtenir la prorogation pour trois mois encore du réf^imo ooinmercial provisoire.

SÉRUMTHÉRAPIE {sff-rojn, /jfi n. f. Syn. de SÉrothk-Kvi’Ui (v. tome ’ili.

SILVALINE n. f. Sorte do fil dont les fibres do bois forment la matièro ot dont on so sert dans la confection do certains tissus grossiers.

— Kncvcl. Ua. silvalinc se fabrirpic par lo séchage rapide <io la pàto de bois sur un treillis métallique et ])ario découpage de la matière ainsi obtenue en longues libres qui sont ensuite transformées par des tordcuses en fils de dilféronts calibres. Les fils ainsi obtenus, quand ils sont secs, présentent une résistance satisfaisante ; mais l’humiditù les endommagée rapidement, et il est nécessaire pour pouvoir les utiliser à la confection do tissus autres quo les étolfos d’ameublement, les toiles d’emballage, etc., do les imperméabiliser. Dans ce but, Harry Fodcr a proposé notamment do traitcn" les (ils, avant le lissage, d’abord par une solution légère do caséine, puis par une sulution de formol destinée û rendre la caséine insoluble.

SINGEING {sin’-djin’fjh’ — m. angl. signif. action de brûler léi/n’ement) n. m. Art capil. Action de tlamber l’e.xtrémitô des cheveux, do manière que ce brùlago forme au bout du chovcu une petite boule qui l’obturo ; Le siNiiKiNG fortifie, dit-on, la chevelure.

  • SOKOTO.— La région fertile ot peuplée du Sokoto, dans

la Nigeria anglaise, a été troubloo, pendant les mois <ic février et mars 1906, par une révolte assez grave. Plusieurs officiers anglais, ainsi (pi’un détachement de troupes, furent massacrés dans le nord-est du Sokoto, aux confins de la frontière française, par dos indigènes appartenant vraisemblablement à une tribu touareg. Cette révolte a été presque iramétliatement réprimée par une expédition anglaise commandée par lo capitaine Goodwin, qui prit d’assaut, lo 12 mars, le village de Satira. Los officiers français du Soudan avaient do tout leur pouvoir facilité la tàcho do leurs collègues anglais.

SOLARI(Jean-Iîaptiste-Mario-Philippc), sculpteur frîincais, né et mort à Aix en Provence (1840-1900). Elève do Joutt’roy, il parut pour la première fois au Salon do 1867 avec une Bacchante, et envoya depuis : Bnif/neuse (1869) ; le Message (1870), et de nombreux bustes. On lui doit : lo buste do Siinon Saint-Jean, à l’hôtel de ville do Lyon ; le monument de Peiresc, à Aix en Provence ; dos bustes A’Emi/e Zola {au cimetière Montmartre [Paris], à la bibliothèque Méjanes [Aix,])

SouiLA, petite oasis du Sahara septentrional, dans la Xripoliiaiue, à l’E. de Mourzouk. Un millier d’habitants. Palmiers, dattiers. C’est une des étapes de la route vers La Mecque, que suivent les pèlerins du Maghreb ot de la Mauritanie ; d’où une ccr_taino activité coniinerciale.

StraKHOV (Nicolas Nicolaevitch), publiciste russe, né on 1S2S, mort en i896. II a collaboré à un certain nombre de recueils de Saint-Pétersbourg. Parmi ses travaux littéraires, nous citerons seulement : Eludes critiques sur Toiirf/tœnev et Tolstoï, la Lutte contre l’Occident dans la littérature rws.se. On lui doit aussi dos ouvrages do philosophie.

StRANNIK (M"" Ivan femme de lettres d’origine russe, née Anna Avinoff, à Choucha (Caucase) on 1871. Ses livres ont été publiés en français et dès le premier, l’Appfl de l’eau (1901), l’auteur se fit remarquer par la délicatesse de ses notations et l’observation pénétrante de la psychologie de son héroïne Dolly. Le désenchantement {jue la femme trouve dans le mariage était le sujet de ce roman et de ceux <|ui suivirent : la Statue ensevclw (1902) et l’Omhre de la maison (1904). Entre temps M"’ Ivan strannik avait publié une traduction française des Vaf/abonds de Maxime Gorki, ot uno série d’études critiques et sociales sur les écrivains russes d’aujourd’hui, la Pensée russe contemporaine (1903). Depuis ont paru deux nouveaux romans : les Nuages (1905) et les Mages sans étoile (1906). C’est avec une intrigue imaginaire, dont la guerre do Mandchourie fournit lo douloureux dénouomeut, une" nouvelle présentation de l’élite de la société russe. M"*" Ivan Strannik a collaboré aussi au Journal des iJébalSy au Fifjaro, à la Hevue bleue et à la Bévue de Paris.

Structure (la) du protoplasma et les théories sur l’hérédité et les grands problèmes de ta biologie générale, par Yves Delage [v* édit., 1895 ; 2" édit., 1903).

Ce livre, dont la réputation est universelle parmi les biologistes et les philosophes, marque une étape décisive dans l’évolution de la biologie en France. L’auteur, en elfet, s’est proposé de résumer les découvertes positives accomplies depuis un siècle dans l’ordre des phénomènes généraux de la vie et d’exposer, on en faisant la critique, les diverses théories auxquelles les faits nouveaux ainsi constatés ont donné lieu. Dans la première partie. Les faits, l’auteur étudie successivement ce que nous savons de la constitution, de la physiologie et de la reproduction de la cellule, de la régénération et de la gretfo, de la génération et do la grande loi biogénétique, do la métamorphose, de l’altoruance des générations ot du sexe, des caractères latents, do la corrélation et do la mort chez l’individu, de l’hérédité et do la variation dans la raco et de la formation des espèces. La seconde partie comporte deux subdivisions : les théories particulières et les théories générales. Parmi ces dernières, sont examinés l’animisme ot la force vitale de l’école de Montpellier, l’évolutionnismo des sperraatistes et des ovistes, le micromérisme auquel se rattachent presque toutes les con-’coptions des biologistes coutemporams : H. Spencer. Flaacke, E. Haeckel, Cope. Danilewski. .A.Imann,Ch. Darwin, Galton, Nœgeli, KOliiker, de Vries, O. Hertwig et Woismann, et enfin l’organicisme, dont l’autodétermination do Roux n’est qu’une forme.

SUPPL.

SKUUMTlIEUAlMi :

TANTALE

Dans uno dcrnièro partie, l’auteur, après avoir ainsi mis sous les yeux du lecteur t*n do-umenis Pt leur* diverses inierpréiations, cx ■ .^ù-

vcment au méi anisme des [ .. ia

vie, sous le nom do théorie "■ , léo

niaitrcsse est c<dle-ci : que la tcilulu a une hiruccurc pluH simple qu’on no l’admoi d’ordinaire ot quo tous les phénomènes quelle manifL’Sto. assimilation, féi-ondatton, autogonéso, ditlVjr*MiciaU’jn bisfologiquo, hérédiié, variation, adaptation, origine des espèces, etc., sont le résultat de l’excitation foncttonnetle. (V. cc mot au Supplérrtknt.j Par là pulago se rattache aux idées do Wilhclm Koux. Colle théorie a d’ailleurs provoqué do nombreuses critiques, notamment de la part de A. (iiard.

Le livre d’Yves Uulago, duno clarté parfaite et d’une érudition prodigieuse, est précédé d’une introduction Mur la direction des recherches biologiques en France, i/auteur y déplore le manque didôos générales dont font preuve les naturalistes français, ot four conseille la recherche dos expériences décisive», au lieu do perdre leur temps à do petites explorations do détail, absolument stériles. Y. Dolage, entouré d’un comité do spécialistes», publie, chaque année, depuis 1895, ■ l’Année biologique •, continuation et complément du volume ci-dessus analysé.

(V. ANNKB BIOLOGIQUK.)

StUDNICZKA (François-Joseph), mathématicien icliôque, né en 1836, mort en 1903. Il fui professeur à l’université do Prague et membre de l’académie de celte ville. Outre do nombreux travaux do mathématiques en tchèque ot en allemand, il a publié, À l’occasion du jubilé do Tyclio Brahé (1901), des études sur ce célèbre astronome.

SuCHARDA fStanislas), sculpteur tchèque, né en 18C6. Elèvo de l’acauémie do Vienne, il s’est suiout appliqué à. reproduire des types slaves. Il a décoré notamment un certain nombre de monuments do Prague (la Caisse d’épargne, la Banque, la Société d’assurance de Tricstc). On estime particulièrement son Tombeau de I*alacky. Il est professeur à l’Ecole industrielle do Prague.

Sucher (Rosa II.ssiiLUKCK, dame), cantatrice allcmau’io, née à Vclburc (Palatinat) vers 1815. Elle était encore inconnue lorsqu en 1876, le chef d’orchestre, Joseph Sucher, l’épousa, et bientôt fut engagé avec elle à Hambourg, 011 elle commença sa grande réputation. En 1H88, Sucber étant appelé à Berlin pour succéder à Schrœder commo chef d’orchestre de l’Opéra royal, sa femme fut elle-même engagée commo première chanteuse. Là, son talent s’affirma do tollo façon, surtout dans le répertoire wagnéiien, qu’elle fut invitée à chanter au tliéâlrc de Bayreuth. Ello y remporta un succès dans le rôle d’YsoIde de Tristan et Ysol’le, où sa voix, à la fois < :baude et puissante, faisait merveille, avec son beau visage tragique et expressif. Kilo no so montra pas moins remarquable dans la Kundry de Parsifal, dans Brunohilde de la ^’alhjrie. C’est dans ce dernier rôle que, prenant sa retraite, elle parut i>our la dernière fois, en novembre 1903, devant le public IxM’linois.

■■*SuiSSE. — La Suisse a réussi à conclure, avec la Franco, au mois d’octobre 1900, un accord commercial quo le Parlement français a approuvé au mois do novembre. Depuis 1892, en effet, date de la mise en vigueur du régime protectionniste eu France, la Suisse avait suspendu à peu près complètement ses rotations commerciales avec la France, ((ui n’avait pas accepté l’introduction en franchise <ies tissus de soie pure fabriaués par les usines suisses. Ce régime do lutte dut prenare lin en 1895, mais le chilTro des échanges avec la Suisse fut long à se relever ; ot encore notre situation commerciale fut-elle atteinte par les accords que la Suisse se mit à conclure avec î’Alleniagno ot l’Austro-Hongrie : le gouvernement français dut do nouveau relever les droits d’accès des marchandises suisses eu Franco. Dans un but de sécurité commerciale, le gouvernement français négocia un accord valable pour douze ans, qui assura l’importation en Suisse, notamment des vins français, contre des concessions appréciables sur les droits do douane dont les soies brutes sont l’objet à leur entrée en France. La convention intervenue a été approuvée par le Parlement français lo 19 novembre 1906, pour entrer en vigueur dès le lendemain.

SULZER fSalomon), musicien autrichien, né à Hohenems en 1801. mort à Vienne en 1890. Il étudia de bonne heure la musique et les lettres hébraïques, fut élève deSoyfricd pour la composition, devint, t dix-sept ans, diantre du temple Israélite do sa ville natale, et bientôt fut appelé à Vienne comme ministre officiant et chantre supérieur de la synagogue, fonctions qu’il occupa pendant cinquante-cinq ans. Il fut, en cette qualité, le réformateur du chant liébraïque, dont il s’occupa avec passion, recueillant les airs légués par la tradition, les codifiant pour ainsi dire au point do vue musical et les arrançoant pour la voix et pour l’orgue. Il en fit uno publicaiFon d’ensemble en deux volumes sous lo titre do Schir Zion l^les Chants de Zvon], public.ition qui lui coéta trente années de travail. Il’ composa lui-mémo, pour le service de la synagogue, de nombreuses hvmnes. remarquables par l’originalité et la fantaisie, et dont plusieurs datent du mouvement politique de 1848, auquel il prit une part active. Suizer fut le compagnon do Beethoven, de Schubert et de Liszt, ainsi que des principaux représentants de la génération artistique de 1830. Liszt, qui avait la plus grande estime pour sa personne et pour son talent, a laissé do lui, dans un de ses écrits, uno appréciation enthousiaste.

SuNTER (Leandro). compositeur espagnol, né à Mastorell en 1833. Il était âgé seulement de dix-neuf ans lorsqu’il obtint, au concours, la place do maître do chapelle de 1 église de Santa Maria del Pino. à Barcelone. U ne put cependant la conserver, par suite de son refus dcniror dans les ordres, ce qui était une condition de l’emploi. Il décida de se livrer alors à l’enseignement, tout en effectuant de nombreux travaux de composition. Il écrivit plusieurs messes, des psaumes, des motets, un Te Deum A deux chœurs, fugues, etc.. puis songea à se produire au théâtre ot composa un grand opéra : Alfonso el Casto, qu’il no put parvenir à faire représenter. L’opéra sérieux lui étant interdit, il se tourna du coté de la zarzuela et produisit plusieurs jolis ouvrages de ce genre, dont le succès fut aussi complet à Madrid qu’à Barcelone : les Oncles de ses neveux, les Femmes du siècle^ la Politicoma-

■^stende V*«nu

nie, Coitro9 y tarât, etc. Cet artiste a polilié de nombreux morceaux de piano.

SuYS (TilmanFrançoit). ar en I7K3, mort à Murken. pr<- -

.lo tr- ■ • ■ • - f

fut ■ dar. ann< ’ tauiii

Je .V. le

Suy- r à

Itoni . , . _ __. ...._., ar-

cbiteciure,

SZARVADT fWiïhHmînf ? CrA^^’î.* «’pf^n*"*. pianiite tchèque, née à Pr _ -,« 

ans, son éducatif -n-

ireprit en AIN ni «i

les plus VU’ i-

mann. Peu ut

en jouant, i i rio

de Bceiliovou. L- r, -

née, un nouveau ^e

et la Hongrie, par’ •,

elle y épousa Szarvad^v . ..« 

prit une part active ai li-

sant apprécier n'^"> •’••’■' lit

le talent dont ell lo

la musique clas- ’■■

œuvres ancienne» ilm-miuu-- • u ii.i.i— -..n .l,,.-.’ i.’-nt oubliées. Depuis la mort do son mari (i882). M** ^zarvady a cessé complètcmeni de se faire entendre en j-ublic.

T

TaFT J. H.), homme politique américain r./- fn im3. Successivement avocat, journaliste, indus’ 't le

do ta repré.sentation do l’Etat de New- Y- ’. à

l’amitié du président Koosevoli, devint en ire

d’Etat à la guerre, et fit valoir dans ce j ■ et

qualités d’administrateur. Au moment on jr-

rection des libéraux cubains ’juill. I90ô . j’k- i.- i’ivmdent Fstrada Palma se reconnui impuissant  maîtriser, il fut envoyé en mission dans lile par R'v>*înv*«lt av/r det troupes d." ’ fiel

Waller. Il -or

de nouvell’ ^ *r

tous les foiict !oiin ;iu*-s i.iiis . l’ctiec

de sa mission paciiiijue et la a et de

Mendez Canote, il fut design- r provi-

soire de Cuba avec la missi" -nio-

ment des partis en présence. I lit

solennellement les intentions : ils-

Unis à l’égard de l’ile. et était quelques jours a ;.rcs remplacé dans sa mission par M. Magooo, ex-gouverueur de ta zone du canal de Panama.

  • TANTALE n. m. Métal découvert en 180î par Fkebere.

— Encvcl. On a extrait tout dabnrd ]o fiY^tnU dp Ta

tantalite et de l’yltrotantalite lU-

jourd’hui de la oolumbite. de . e.

de la tapiolite, etc., oui snnt •>-

tantalatcs de fer et ae mant’.. - p’ir».

Certains de ces minéraux dev , - de. de la Laponie, ronfcrnient jusqn

La poudre noire obtenue ci. ’to

de potassium par le sodium i. i-

tale pur : elle contient encor’ :i

d’oxyde lantalique. C'est ce >, ■*

récemment encore, on ne so’ -

priélés possède le tantale ni <•••■ , u-

vait être susceptible, la poudr> •- laipur ayaut, en effet, des propriétés toutes

Le métal pur ne peut être c . .. . " ■■■» i^- !"n «u

four électrique dans le vide : on ta> i-

dre dans un creuset, qui jouera le r rs

que la cathode (faite de tantale ou —al peu fnsible) est placée juste au- : fait passer te courant électrique ; le ■ semble au fond du récipient. Quand

objets de forme déterminée, on fait ■. i-

dre impure do tantale avec de la par.. â

ce mélange la forme voulue, puis quan i ■■’,

on l’introduit dans le circuit résistant d un le

fonctionnant dans le vide, mais ou ne va ^ - la fusion complète.

Dune dureté remarquable et d’une résistance à la traction supérieure à celle do l’acier, le tantale n pn^ir !/^n^ :ré l*j,S et ne fond qu’à une temp’ i-

grés. Sa dureté peut être au_ -’

tion au métal en fusion de ,

bien en la chauffant au rouge ^juiij.-i ; eu i-rv^-nv c .Jo charbon <o bois pulvérisé pendant asseï longtemps (cémentation^.

Inattaquable aux acides à l’exception fhvdriqueî à la température ordinaire et

bine ’"^ /^

c’est "^«^ ’^*’»

difficuH-.f. n- . .-•■ - -^ :«v

peut en effet cha ; ’^re. car d soxyde-

fait et toute trar. v-essïvemcni faible.

en modifie profoii j-ii. its.

Les principales ^ du tantale pur, au moins

quant à présent. ^ . :il« : on util.se des fils do

tantale-pourla fabn.-arK. !. -i^s lampes à incandescence, et ces fils offrent sur les filaments de charbon ordinairement emplovés lavaniace dune économie dans le fonctionnement, ’une résistance plus considérable aux variations de voltage et une plus longue durée : toutefois, le prix de ces lampes reste assez élevé en raison même de la cherté du tantale. On utilise encore ce métal pour la fabrication de plumes à écrire, qui possèdent tous les

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sn. on se ras-