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D’amitié, de cousinage,
Se fait certain tripotage.
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On demeure sans support :
Les malheurs du mariage
Troublent l’esprit le plus fort.
De l’envoyer au village,
De lui donner passeport,
Jamais tel pélerinage
N’apporte que du dommage ;
Il faut finir ce transport :
En un mot, en tout langage,
Les malheurs du mariage
Troublent l’esprit le plus fort.
L’espérance du veuvage,
Dit un très-grand personnage,
Quelquefois nous encourage ;
Mais c’est un bien long ouvrage,
Quand il finit par la mort.
Répétons donc cet adage :
Les malheurs du mariage
Troublent l’esprit le plus fort ;
Chacun sent, et fol et sage,
Les malheurs du mariage.
François Maynard.