^
��ffTpaTccjTexoù nXyj&ooç Itl jiuqut^u [tfiuiluàtflh dtà /ÂiTâza rapà^avroç
T7JV Ttôkev^ Irq^i. ptiLUilnup-^Lt» fthif. èazaaiaoav xai Z^ptaav ^tiu Irt pi*ii.^Mtquiptu^^u% t Tov ^aaeXéa oi deaaa
kovtxsêç. Kài &€û}pij(raç
cTzmxdv
pOVTOÇ
/AV TO^eoi^TJvat'
uuttÊtut^B-tu^ f ^tuquB^tu^ xai dTTciXsTO ttX^&oç
ffiriujfl»
tupu ^H.lrmiuuiuu ^tutitupx ^eXcàdwxf 8exanivT£.
Encore une fois nous trouvons Moïse de Khoren et Malalas d'accord entre eux, mais en complète opposition a,vec ce qui semble historiquement établi. D'abord il est certain que Théodose n'était pas à Thessa- lonique lorsqu'eurent lieu les événements ici racontés. L'empereur apprit à Milan la sé- dition qui avait coûté la vie au commandant de la garnison de Thessalonique, et ce fut de Milan, — les lettres de S. Ambroise sont là pour nous l'attester — , qu'il envoya froide- ment l'ordre de massacrer la population de la ville. Quant aux causes de la sédition, Malalas et les chroniqueurs qui dépendent plus ou moins directement de lui, comme Théophane (VHP s.) et Cédrénus (XI« s.), sont les seuls qui mettent en avant une rixe au sujet du logement (piTâra) des troupes. Il en est de même pour le nombre des victimes. Malalas est le premier qui en porte
�� �