Malalas paraît ici avoir abrégé une source très-semblable à l'interpolation signalée par nous dans laViearméniennedeS.Silvestre.*) Uemploi du mot ^«Vvov») {u^^u^njù^ signum) dans les deux textes ne peut s'expliquer par une simple coïncidence.
V.
Moïse de Kh. II, 87. Malalas, p. 319.
iZ^hqPitk i^^p t'-p T7JV éauTOÏi fÂTjTépa tjjv
xùpav ^EXévTjv
tl^pfiut^ut% ^u^iêA, TovauTouripeovaTaopov
^m%i.lrpl SA^f^ F^f-^^ fterà r<ôv névre i^kwv.
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L'arménien est évidemment traduit du grec, et la dépendance du prçihier texte vis^ à- vis du second se trouve encore accentuée par ce fait que la phraàe qui précède immé* diatement dans l'arménien, relève aussi, sinon pour la forme, du moins pour le fond, d'une affirmation inexacte énoncée quelques ligneç plus haut par Malalas (p. 317).
'^ttu'iii^^tut^nà,^ uiqtuitrtuff Koi ineaTpàtsuae xazk
��») Nouv. sources, p. 15 sv.
- ) Ce mot se rencontra sept fois chez Malalas
dans le sens d'enseigne militaire.
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